Couvrir d'un caparaçon. Caparaçonner un cheval, un éléphant. « Un énorme corbillard à panaches, surmonté d'une croix monumentale, et traîné de deux chevaux caparaçonnés de noir, conduisit au cimetière [...] la dépouille du vieux Deschamps » noticeAlbert_Laberge.bio.xmlAlbert_Laberge_bio_xmlAlbert LabergeLa scouineMontréal, Éditions Typo, 1993, 142 p. [1re éd., 1918] javascript:return naviguerVers('')(A. Laberge, 1918). infobullenum_macro_sensnum_sous_sensI, II, III…structuration de l’article250IMacrosensAMésosens1Sens◈Sous-sens‒Nuance
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infobulleliste_rhetorique_par_extpar_ext.par ext.par extension250Précisions rhétoriquesprecisionRhetoriqueIndicateur utilisé dans le cas d’un mot à qui l’on donne, outre son sens premier original et spécifique, un sens secondaire plus général.par ext. Couvrir qqn ou une partie du corps d'une protection (armure, cuirasse, etc.). « Caparaçonné d'un costume de centurion romain en plastique, en armes, le petit Aurélien fait sa ronde d'éradication de méchants connus de lui seul » noticeJournalLe_Soleil_bio_xmlLe_Soleil.bio.xmlLe Soleil Quotidien québécois publié à Québec. (Le Soleil, 1999).