rougir [ʀuʒiʀ] v.
1 V. intr. Devenir rouge, prendre une teinte rouge. Tomate, fruit qui rougit. Les feuilles rougissent en automne. 2 V. intr. Devenir rouge sous l’effet d’une émotion vive.
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s'empourprer. Rougir jusqu’à la racine des cheveux, jusqu’aux yeux, jusqu’aux oreilles. Se sentir rougir. « Elle se tourna, gênée, rougit imperceptiblement, baissa les yeux » (P. Zumthor, 1994).
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V. tr. indir.
rougir de (+ cause). Rougir de colère, d’orgueil, de honte, de timidité. « Il lui suffit d'un signe de tête approbateur, d'un froncement de sourcils pour que les trois vieilles filles [...] rougissent de plaisir ou de désappointement » (G. Bessette, 1960).
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V. tr. indir. avoir à rougir de. Avoir honte, éprouver un sentiment de culpabilité. « je n'ai pas à rougir de ma conduite; moralement, je n'ai pas de reproches à me faire, ou du moins presque pas... » (Fr. Loranger, 1949). 3 V. tr. dir. Rendre rouge, donner une teinte rouge. Yeux rougis par les pleurs. « Le soleil à demi disparu rougissait l'horizon » (R. Lemelin, 1948).
rougir de (+ cause). Rougir de colère, d’orgueil, de honte, de timidité. « Il lui suffit d'un signe de tête approbateur, d'un froncement de sourcils pour que les trois vieilles filles [...] rougissent de plaisir ou de désappointement » (G. Bessette, 1960).
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V. tr. indir. avoir à rougir de. Avoir honte, éprouver un sentiment de culpabilité. « je n'ai pas à rougir de ma conduite; moralement, je n'ai pas de reproches à me faire, ou du moins presque pas... » (Fr. Loranger, 1949). 3 V. tr. dir. Rendre rouge, donner une teinte rouge. Yeux rougis par les pleurs. « Le soleil à demi disparu rougissait l'horizon » (R. Lemelin, 1948). 
CONJUGAISON
MEQ - 6e
- ⇒ empourprer
- ⇒ enflammer
- ⇒ enluminer
- ⇒ s'empourprer