profession [pʀɔfɛsjɔ̃] n. f.
I 1 Déclaration publique ayant pour but de faire
connaître ouvertement ses opinions, ses sentiments,
ses intentions. Faire profession de : professer. « Sans faire profession de vertu, à l'écart
des aventures, elle avait érigé autour d'elle un
mur fait d'indifférence devant l'amour » (J. Éthier-Blais, 1982).
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profession de foi : déclaration d'adhésion à des principes
religieux, politiques, intellectuels auxquels on
est particulièrement attaché, dont on se
réclame.
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spécialt Cérémonie au cours de laquelle un enfant
communie pour la première fois en faisant
profession solennelle de la foi
catholique.
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communion solennelle. 2 Acte par lequel le membre d’une communauté
religieuse s’engage définitivement après le noviciat
en prononçant ses vœux.
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acte.
II 1 Travail déterminé, manuel ou intellectuel,
effectué pour le compte d'un employeur ou pour son
propre compte, et dont on peut tirer ses moyens
d'existence. (in GDT) REM. L’emploi de profession a été officialisé par l’OQLF. La profession médicale. La profession d'avocat,
d'enseignant. Exercer une profession. « les bouquinistes connaissaient trop leur
profession pour se défaire d'un ouvrage rare sans
en demander un prix insensé » (Cl. Mathieu, 1965).
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Professions libérales. 2 par méton. Ensemble de personnes exerçant le même métier
ou appartenant au même secteur d'activité. L'ensemble de la profession. « Le succès de quelques-uns à traverser le
marécage amena presque toute la profession à s'y
enliser » (J.-Ch. Harvey, 1934). 3 De profession : professionnel. Cuisinier de profession.
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fig. Qui se comporte habituellement comme
tel. Il est « ébéniste de métier, mais ivrogne de
profession » (D. Demers, 1992).
ORTHOGRAPHE
| nom féminin | |||||
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profession
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