2. port [pɔʀ] n. m.
1 Action, fait de porter sur soi, d’avoir sur soi. Port de l’uniforme. Port de la barbe. Le port du casque est obligatoire sur le chantier. Port d’armes prohibé. Permis de port d’armes. Port obligatoire de la ceinture de sécurité. « le port de la casquette est interdit dans les corridors » (L’actualité, 2000). 2 Action de porter, de tenir, de soutenir.
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milit. port d'armes : action de soulever son arme, spécialement son fusil, pour la tenir contre le corps,
l'extrémité opposée à la garde ou à la crosse à hauteur de la tête, notamment pour
rendre les honneurs; position ainsi prise. Soldat qui se met au port d'armes. 3 Manière naturelle de se tenir; manière de tenir (le corps, une partie du corps).
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attitude, maintien. Port fier, majestueux, noble. Un port de tête altier. Avoir un port de reine. « Albina Lareau était une grande et belle femme, au port élégant » (A. Bessette, 1914). 4 par anal., bot. Forme et disposition d'ensemble propre à un végétal. Port d’un arbre. Port buissonnant, dressé, élancé. Port conique d’un sapin. « le saule pleureur au port gracieusement mélancolique » (Le Devoir, 2000). 5 Action, fait de transporter, d’acheminer qqch. en un lieu de destination, à un destinataire. Frais de port. Prix du port.
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Prix payé pour le transport. Port non compris.
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port dû, à la charge du destinataire. Expédier un colis en port dû.
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port payé, à la charge de l'expéditeur. « Le libraire garantit la livraison en 48 heures, port payé, n'importe où en Amérique
du Nord » (Les Affaires, 1998).
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Franc de port. 6 mar. port en lourd : charge maximale que peut prendre un navire. 7 port de voix : passage d’un son à un autre effectué de manière graduelle, imperceptible.
ORTHOGRAPHE
| nom masculin | |||||
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port
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