mangeur, mangeuse [infobulle_prononciationprononciationbloc prononciationprononciation400VOIR le tableau de l’alphabet phonétique international.VOIR les principes de la transcription phonétique.VOIR l’article thématique : La prononciation du français québécois.VOIR l’article thématique : L’origine de la prononciation québécoise traditionnelle.mɑ̃ʒœʀ, mɑ̃ʒøz] infobullenom_nn.n.nom250Informations lexicogrammaticalesinfoLexicoAbréviation de
nom.n.
Personne qui mange, qui est en train de manger. infobullerenvoi_syn⇒ ⇒ renvoi synonymique250Renvois analogiquesrenvoisLa flèche horizontale ( ⇒ ) renvoie à un ou à des synonymes, c’est-à-dire à un ou à des mots qui présentent le même sens ou à peu près le même sens.
⇒
infobulleliste_sociolectal_famfam.fam.familier250Marques de registre de languemarquesRegistreLa marque familier est utilisée pour marquer un emploi de registre familier, c’est-à-dire moins valorisé socialement qu’un emploi standard ou neutre; la marque familier peut parfois correspondre, en raison du contexte d’emploi, à une certaine valeur stylistique, expressive.fam. bouffeur. infobullerenvoi_hypo⇓ ⇓ renvoi de type hyponyme250Renvois analogiquesrenvoisLa flèche vers le bas ( ⇓ ) renvoie à un mot étroitement apparenté, mais de sens plus étroit ou plus précis.
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gargantua, goinfre, glouton; infobulleliste_sociolectal_famfam.fam.familier250Marques de registre de languemarquesRegistreLa marque familier est utilisée pour marquer un emploi de registre familier, c’est-à-dire moins valorisé socialement qu’un emploi standard ou neutre; la marque familier peut parfois correspondre, en raison du contexte d’emploi, à une certaine valeur stylistique, expressive.fam. bâfreur. Grand, gros, puissant mangeur. « le souper se mit en train, cependant que ne cessaient d'arriver d'autres et d'autres convives. Les mangeurs se succédaient continuellement » noticeFélix-Antoine_Savard.bio.xmlFélix-Antoine_Savard_bio_xmlFélix-Antoine SavardLe barachoisMontréal et Paris, Éditions Fides, 1971, 173 p. (Collection du Nénuphar). [1re éd., 1959] javascript:return naviguerVers('')(F.-A. Savard, 1959). infobullenum_macro_sensnum_sous_sensI, II, III…structuration de l’article250IMacrosensAMésosens1Sens◈Sous-sens‒Nuance
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mangeur de. Personne ou animal qui se nourrit habituellement de qqch. Mangeur de poisson, de porc, de viande. « Rôde l'ours brun, mangeur de baies, effroi des ruches » noticeAlfred_DesRochers.bio.xmlAlfred_DesRochers_bio_xmlAlfred DesRochersÀ l'ombre de l’Orford précédé de L'offrande aux vierges follesÉdition critique par Richard Giguère, Montréal, Presses de l'Université de Montréal, 1993, 289 p. (Collection Bibliothèque du Nouveau Monde). [1re éd., L'offrande aux
vierges folles, 1928; À l'ombre de
l'Orford, 1929] javascript:return naviguerVers('')(A. DesRochers, 1929). infobullenum_macro_sensnum_nuanceI, II, III…structuration de l’article250IMacrosensAMésosens1Sens◈Sous-sens‒Nuance
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infobulleliste_rhetorique_figfig.fig.figuré250Précisions rhétoriquesprecisionRhetoriqueIndicateur utilisé dans le cas d’un mot qui prend ou qui a une signification seconde, souvent produite par une métaphore (par opposition au sens propre).fig. « S'il n'avait pas crevé alors, c'est que la mort évite les pauvres, les gueux, les mangeurs de misères » noticeAlbert_Laberge.bio.xmlAlbert_Laberge_bio_xmlAlbert LabergeLa scouineMontréal, Éditions Typo, 1993, 142 p. [1re éd., 1918] javascript:return naviguerVers('')(A. Laberge, 1918). infobullenum_macro_sensnum_nuanceI, II, III…structuration de l’article250IMacrosensAMésosens1Sens◈Sous-sens‒Nuance
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infobulleliste_topolectal_UQ[UQ]Q/CParticularisme de l’usage québécois et canadien400Marques de répartition géographiquemarquesGeoCet emploi est caractéristique de la variété de français qui a cours au Québec et qui est largement répandue au Canada, ce qui signifie qu’il peut contribuer à distinguer cette variété nord-américaine de français de celle qui a cours en France et dans la francophonie européenne.Cela n’implique pas que cet emploi soit exclusif à l’usage nord‑américain du français, ni qu’il soit bien implanté dans la variété acadienne (qui se démarque du français québécois sur un certain nombre de points).Les particularismes de l’usage québécois et canadien sont parfois signalés comme tels dans les dictionnaires produits en France.Dans Usito, les emplois portant les marques Q/C et F/E sont généralement accompagnés de renvois synonymiques qui permettent d’établir rapidement des liens entre ces variantes géographiques et les autres ressources lexicales du français.Q/C infobulleliste_connotation_péjpéj.péj.péjoratif250Marques de connotationmarquesConnotationLa marque péjoratif est utilisée pour signaler les emplois qui véhiculent un jugement de valeur négatif.péj. (expression) Mangeur de balustre.
infobulledef_sous_entree_in_TLFin_TLFin TLFiin Trésor de la langue française informatisé400mangeurCet article s’appuie sur certaines données du TLFi.Rechercher « ###_entree_### » dans le TLFiLe Centre d’analyse et de traitement informatique du français québécois (CATIFQ)* a établi une convention de collaboration scientifique avec le Centre national de la recherche scientifique (CNRS), l’ATILF et le Trésor de la langue française, Université de Nancy. Dans le cadre de cette collaboration scientifique, l’équipe FRANQUS peut s’appuyer :sur des définitions du Trésor de la langue française concernant les mots ou sens très généraux de la francophonie, ne comportant pas de spécificité québécoise;sur la partie étymologique du Trésor de la langue française;sur des citations issues de Frantext pour les auteurs littéraires français.* Ce centre porte depuis 2016 le nom de Centre de recherche interuniversitaire sur le français en usage au Québec (CRIFUQ).
ORTHOGRAPHE
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