Action de se ruer, de se précipiter; mouvement impétueux, incontrôlable, vers un même lieu, au même moment. Quand la cloche sonne, c'est la ruée. « un phénomène assez remarquable que cette ruée annuelle vers les champs, les sources,
les calmes enclos, la mer et la montagne » noticeFélix-Antoine_Savard.bio.xmlFélix-Antoine_Savard_bio_xmlFélix-Antoine SavardL'abatisMontréal et Paris, Éditions Fides, 1971, 158 p. (Collection du Nénuphar). [1re éd., 1943] javascript:return naviguerVers('')(F.-A. Savard, 1943). infobullenum_macro_sensnum_sous_sensI, II, III…structuration de l’article250IMacrosensAMésosens1Sens◈Sous-sens‒Nuance
◈
infobulleliste_technolectal_histhist.hist.histoire250Indicateurs de domainesIndicateursDomaineCette marque indique que le mot ou le sens appartient à ce domaine spécialisé.hist. Ruée vers l'or : mouvement migrateur qui, au 19e siècle, entraîna des chercheurs d'or en grand nombre vers le centre et l'ouest américains
et l'Alaska. « En 1896, la découverte de riches gisements d'or dans la rivière du Klondike, au Yukon,
déclencha une fabuleuse ruée vers l'or » noticeJournalLe_Devoir_bio_xmlLe_Devoir.bio.xmlLe Devoir Quotidien québécois publié à Montréal. (Le Devoir, 2004).
infobulledef_sous_entree_in_TLFin_TLFin TLFiin Trésor de la langue française informatisé400ruéeCet article s’appuie sur certaines données du TLFi.Rechercher « ###_entree_### » dans le TLFiLe Centre d’analyse et de traitement informatique du français québécois (CATIFQ)*
a établi une convention de collaboration scientifique avec le Centre national de la
recherche scientifique (CNRS), l’ATILF et le Trésor de la langue française, Université
de Nancy. Dans le cadre de cette collaboration scientifique, l’équipe FRANQUS peut s’appuyer :sur des définitions du Trésor de la langue française concernant les mots ou sens très généraux de la francophonie, ne comportant pas de
spécificité québécoise;sur la partie étymologique du Trésor de la langue française;sur des citations issues de Frantext pour les auteurs littéraires français.* Ce centre porte depuis 2016 le nom de Centre de recherche interuniversitaire sur
le français en usage au Québec (CRIFUQ).