prêle ou prèle [pʀɛ:l] n. f.
Plante riche en silice, commune dans les milieux humides de l’hémisphère Nord, dont
les rhizomes rampants émettent des tiges creuses, marquées de nœuds et généralement
rugueuses, qui peuvent ou non porter des collerettes de feuilles filiformes et qui,
si elles sont fertiles, se terminent par un épi de sporanges. [Genre Equisetum; famille des équisétacées.] « D'une rame lente, je vais, longeant les prêles rousses et les plates-bandes des nénuphars;
et, d'un canot songeur, dans le gris de l'eau et les ombrages ondulés, je taille un
sillage parallèle à ces bords » (F.-A. Savard, 1943).
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prêle des champs [E. arvense] : espèce très commune, qui produit d’abord des tiges fertiles blanchâtres, nues et porteuses
d’un épi terminal, puis des tiges stériles vertes et feuillues.
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queue-de-renard. « Il existe une douzaine d'espèces de prèles au Québec, mais celle qui est considérée
comme une mauvaise herbe est [...] la prèle des champs. C'est une plante primitive qui pousse presque partout et dans
les habitats les plus divers sauf en milieu aquatique. Elle atteint une vingtaine
de centimètres de hauteur et se multiplie notamment par ses rhizomes » (La Presse, 2001).
ORTHOGRAPHE
| nom féminin | |||||
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prêle
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prèle
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