concession [kɔ̃sɛsjɔ̃] n. f.
I 1 Fait de renoncer à (une opinion, un droit, une
prétention); ce à quoi on renonce.
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compromis. Faire des concessions. Sans concession. Les employés ont « accepté d'importantes concessions
salariales » (La Presse, 2006). 2 gramm. (phrase) subordonnée de
concession : subordonnée concessive. REM. En grammaire nouvelle, on
emploie phrase plutôt que proposition utilisée en grammaire
traditionnelle.
II 1 vieilli Action d'accorder un bien, un avantage à
qqn; ce que l'on accorde.
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cession, octroi. 2 Attribution par l'État de ressources naturelles
afin qu'elles soient exploitées; ressource ainsi attribuée.
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attribution. Concession minière, forestière. 3 Terre donnée par l'État dans une colonie afin
qu'elle soit cultivée. « il avait pris une concession, bâti une
maison, une étable et une grange » (L. Hémon, 1916). 4 Concession funéraire : parcelle de terrain réservée dans un
cimetière. 5 Q/C vieilli Série de lots le long d'un rang. Les concessions près de la
rivière.
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Rang.
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rang. « Nous montons droit au sud jusqu’au troisième [rang]; nous traversons toute cette concession vers l’est jusqu’à la croisée des chemins
des Butons, à neuf milles de notre point de départ » (J. G. Paradis, 1923).
ORTHOGRAPHE
| nom féminin | |||||
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concession
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