rugir [ʀyʒiʀ] v.
1 V. intr. Pousser son cri, en parlant du lion et de certains grands félins. « les lions et les tigres [...] rugissaient dans leurs cages en voyant le soleil se coucher sur les montagnes » (G. Flaubert, 1841). 2 V. intr. par anal. (personnes) Crier, hurler.
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crierhurlervociférer. « J'avais envie de rugir pour chasser toutes ces pensées » (J.-Ch. Harvey, 1934).
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V. tr. indir.
rugir de. Rugir de colère, de rage, de douleur. « les premiers rangs de curieux, qui suivaient la conversation, rugirent de rire » (J. Benoit, 1981).
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(emploi tr. dir.) « elle lui rugit de s'éloigner. Il recula, terrifié » (A. Cousture, 1985). 3 V. intr. (choses) Produire un bruit sourd et puissant.
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gronder, mugir. Moteur, voiture qui rugit. « Le froid mordait de manière plus sauvage encore [...] et les vents rugissaient bien plus qu'ils ne sifflaient » (D. Demers, 1997).
rugir de. Rugir de colère, de rage, de douleur. « les premiers rangs de curieux, qui suivaient la conversation, rugirent de rire » (J. Benoit, 1981).
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(emploi tr. dir.) « elle lui rugit de s'éloigner. Il recula, terrifié » (A. Cousture, 1985). 3 V. intr. (choses) Produire un bruit sourd et puissant.
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gronder, mugir. Moteur, voiture qui rugit. « Le froid mordait de manière plus sauvage encore [...] et les vents rugissaient bien plus qu'ils ne sifflaient » (D. Demers, 1997). 
CONJUGAISON
MEQ - AC
- ⇑ crier