infobullenum_macro_sensnum_macro_sensI, II, III…structuration de l’article250IMacrosensAMésosens1Sens◈Sous-sens‒NuanceI infobulleverbe_vintrv._intr.v. intr.verbe intransitif250Informations lexicogrammaticalesinfoLexicoEn grammaire traditionnelle, un verbe intransitif est un verbe qui se construit sans complément d’objet (direct ou indirect). Il peut ainsi être accompagné d’un complément circonstanciel (CC) ou d’un attribut du sujet (Attr. S.). Cet animal dort pendant le jour.Il est très gentil.En grammaire nouvelle, un verbe intransitif est un verbe qui ne pourra avoir comme complément qu’un complément de phrase (CPh), celui-ci n’étant d’ailleurs pas obligatoire. Ainsi, parmi les verbes intransitifs en grammaire traditionnelle, une partie conserve le classement intransitif en grammaire nouvelle, tandis qu’une autre partie change de classement. Les verbes
reclassés sont analysés soit comme des transitifs directs (à comportement particulier), soit comme des transitifs indirects, soit comme des attributifs. Cet animal dort pendant le jour.V. intr. S'exprimer plus ou moins correctement, de façon plus ou moins intelligible dans une langue dont on maîtrise mal les structures et le vocabulaire. « on criait, on marmonnait, on jargonnait, on avait moins de mots que de cris pour exprimer nos sauvages émois » noticeClaude_Jasmin.bio.xmlClaude_Jasmin_bio_xmlClaude JasminLa petite patrieMontréal, La Presse, 1972, 141 p. javascript:return naviguerVers('')(Cl. Jasmin, 1972). infobullenum_macro_sensnum_nuanceI, II, III…structuration de l’article250IMacrosensAMésosens1Sens◈Sous-sens‒Nuance
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infobulleverbe_vtrindirv._tr._indir.v. tr. indir.verbe transitif indirect250Informations lexicogrammaticalesinfoLexicoEn grammaire traditionnelle, un verbe transitif indirect est un verbe qui se construit avec un complément d’objet indirect (COI). Il a nui à ses ennemis.En grammaire nouvelle, un verbe transitif indirect est un verbe qui se construit avec un complément indirect (CI), c’est-à-dire un complément du verbe, essentiel, qui est introduit par une préposition. Certains compléments circonstanciels en grammaire traditionnelle sont analysés en grammaire nouvelle comme des compléments indirects (c’est-à-dire des compléments
prépositionnels obligatoires).Il a nui à ses ennemis.Je vais à Montréal.V. tr. indir.infobullebulle_gram_trad_intransitifintransitifGrammaire traditionnelleGrammaire traditionnelle350Verbe intransitif en grammaire traditionnelle.VOIR l’article thématique : Nouvelles orientations grammaticales. jargonner en. Jargonner en français. infobullenum_macro_sensnum_nuanceI, II, III…structuration de l’article250IMacrosensAMésosens1Sens◈Sous-sens‒Nuance
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infobulleliste_grammatical_empltrdirempl._tr._dir.empl. tr. dir.emploi transitif direct250Précisions grammaticales et syntaxiquesprecisionsGrammAbréviation de
emploi transitif direct.(emploi tr. dir.) Jargonner l'anglais, jargonner quelques mots en anglais. infobullenum_macro_sensnum_macro_sensI, II, III…structuration de l’article250IMacrosensAMésosens1Sens◈Sous-sens‒NuanceII infobulleverbe_vintrv._intr.v. intr.verbe intransitif250Informations lexicogrammaticalesinfoLexicoEn grammaire traditionnelle, un verbe intransitif est un verbe qui se construit sans complément d’objet (direct ou indirect). Il peut ainsi être accompagné d’un complément circonstanciel (CC) ou d’un attribut du sujet (Attr. S.). Cet animal dort pendant le jour.Il est très gentil.En grammaire nouvelle, un verbe intransitif est un verbe qui ne pourra avoir comme complément qu’un complément de phrase (CPh), celui-ci n’étant d’ailleurs pas obligatoire. Ainsi, parmi les verbes intransitifs en grammaire traditionnelle, une partie conserve le classement intransitif en grammaire nouvelle, tandis qu’une autre partie change de classement. Les verbes
reclassés sont analysés soit comme des transitifs directs (à comportement particulier), soit comme des transitifs indirects, soit comme des attributifs. Cet animal dort pendant le jour.V. intr. Émettre son cri, notamment en parlant du jars, de l'oie. « Parfois [...], quelque outarde retardataire jargonnait dans les varechs » noticeFélix-Antoine_Savard.bio.xmlFélix-Antoine_Savard_bio_xmlFélix-Antoine SavardLa minuitMontréal et Paris, Éditions Fides, 1968, 177 p. (Collection du Nénuphar). [1re éd., 1948] javascript:return naviguerVers('')(F.-A. Savard, 1948).
infobulledef_sous_entree_in_TLFin_TLFin TLFiin Trésor de la langue française informatisé400jargonnerCet article s’appuie sur certaines données du TLFi.Rechercher « ###_entree_### » dans le TLFiLe Centre d’analyse et de traitement informatique du français québécois (CATIFQ)* a établi une convention de collaboration scientifique avec le Centre national de la recherche scientifique (CNRS), l’ATILF et le Trésor de la langue française, Université de Nancy. Dans le cadre de cette collaboration scientifique, l’équipe FRANQUS peut s’appuyer :sur des définitions du Trésor de la langue française concernant les mots ou sens très généraux de la francophonie, ne comportant pas de spécificité québécoise;sur la partie étymologique du Trésor de la langue française;sur des citations issues de Frantext pour les auteurs littéraires français.* Ce centre porte depuis 2016 le nom de Centre de recherche interuniversitaire sur le français en usage au Québec (CRIFUQ).