iceberg [ajsbɛʀg] ou [isbɛʀg] n.
1 N. m. géogr. Masse de glace d'eau douce détachée du front des glaciers polaires et dérivant sur
la mer; par ext. masse de glace d'eau de mer détachée de la banquise. Le vêlage d'un iceberg. Les icebergs du détroit de Davis. « je distingue, au loin, deux icebergs immenses qui dorment, immobiles, sur la mer » (P. Morency, 2002).
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fig. La partie cachée (immergée) de l'iceberg : la partie cachée d'une affaire, d’une situation est beaucoup plus importante que la
partie manifeste, visible.
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La partie visible de l’iceberg ou la pointe de l'iceberg (de l’anglais the tip of the iceberg) : la partie manifeste, visible d'une affaire ou d’une situation n’est qu’une fraction
d’un ensemble plus vaste. « Le démantèlement d'une vaste entreprise de télémarketing frauduleux, hier, n'est que
la pointe de l'iceberg » (La Presse, 2007). REM. L’emploi de la pointe de l’iceberg, d’emploi plus courant au Québec qu’en France, est parfois critiqué comme synonyme
non standard de la partie visible de l’iceberg. 2 N. f. (parfois avec une majusc.) Nom usuel de la laitue iceberg.
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laitue iceberg. « La principale région productrice de laitue est la Montérégie, plus particulièrement
le sud-est de la région, dite des "Terres noires". La Iceberg pousse bien sur ces
sols organiques » (La Presse, 2001).
ORTHOGRAPHE
nom masculin | |||||
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iceberg
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