infobulleverbe_vtrdirv._tr._dir.v. tr. dir.verbe transitif direct450Informations lexicogrammaticalesinfoLexicoEn grammaire traditionnelle, un verbe transitif direct est un verbe qui se construit avec un complément d’objet direct (COD).Nous parlons français.En grammaire nouvelle, un verbe transitif direct est un verbe qui se construit avec un complément direct (CD), c’est-à-dire un complément du verbe, essentiel, qui n’est pas introduit par une préposition.Nous parlons français.Certains compléments circonstanciels en grammaire traditionnelle peuvent être analysés en grammaire nouvelle comme des compléments directs à comportement particulier. Ils ont un comportement syntaxique moins prototypiques puisqu’ils ne se pronominalisent pas en le, la, les ou en et ne peuvent être mis au passif. Cependant, il s’agit
de compléments requis par le verbe, introduits sans préposition. Les grammaires ne précisent pas toujours comment les analyser et disent simplement qu’il s’agit de compléments de mesure, de prix et de temps ou alors de compléments directs par opposition aux compléments d’objet direct.Ce livre coûte 50 dollars.V. tr. dir. démanger qqn ou infobulleverbe_vtrindirv._tr._indir.v. tr. indir.verbe transitif indirect250Informations lexicogrammaticalesinfoLexicoEn grammaire traditionnelle, un verbe transitif indirect est un verbe qui se construit avec un complément d’objet indirect (COI). Il a nui à ses ennemis.En grammaire nouvelle, un verbe transitif indirect est un verbe qui se construit avec un complément indirect (CI), c’est-à-dire un complément du verbe, essentiel, qui est introduit par une préposition. Certains compléments circonstanciels en grammaire traditionnelle sont analysés en grammaire nouvelle comme des compléments indirects (c’est-à-dire des compléments
prépositionnels obligatoires).Il a nui à ses ennemis.Je vais à Montréal.v. tr. indir. démanger à qqn. Être cause d'une irritation qui donne envie de se gratter; faire éprouver une irritation qui donne envie de se gratter. Ses coudes le démangent ou lui démangent. infobullenum_macro_sensnum_nuanceI, II, III…structuration de l’article250IMacrosensAMésosens1Sens◈Sous-sens‒Nuance
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infobulleliste_syntaxique_absoltabsoltabsoltabsolument250Précisions grammaticales et syntaxiquesprecisionsGrammEn construction absolue, c’est-à-dire sans le complément attendu. absolt Une plaie qui démange. infobullenum_macro_sensnum_sous_sensI, II, III…structuration de l’article250IMacrosensAMésosens1Sens◈Sous-sens‒Nuance
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infobulleliste_rhetorique_figfig.fig.figuré250Précisions rhétoriquesprecisionRhetoriqueIndicateur utilisé dans le cas d’un mot qui prend ou qui a une signification seconde, souvent produite par une métaphore (par opposition au sens propre).fig. et infobulleliste_sociolectal_famfam.fam.familier250Marques de registre de languemarquesRegistreLa marque familier est utilisée pour marquer un emploi de registre familier, c’est-à-dire moins valorisé socialement qu’un emploi standard ou neutre; la marque familier peut parfois correspondre, en raison du contexte d’emploi, à une certaine valeur stylistique, expressive.fam. Provoquer chez qqn une forte envie de faire qqch. « l'envie me démange tout le temps de partir en croisade » noticeJournalLe_Devoir_bio_xmlLe_Devoir.bio.xmlLe Devoir Quotidien québécois publié à Montréal. (Le Devoir, 2000). infobullenum_macro_sensnum_nuanceI, II, III…structuration de l’article250IMacrosensAMésosens1Sens◈Sous-sens‒Nuance
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La main, la langue le démange ou la main, la langue lui démange : il a envie de frapper, de parler. « la langue lui démangea tellement de parler » noticeGermaine_Guèvremont.bio.xmlGermaine_Guèvremont_bio_xmlGermaine GuèvremontLe SurvenantÉdition critique par Yvan G. Lepage, Montréal, Presses de l'Université de Montréal, 1989, 366 p. (Collection Bibliothèque du Nouveau Monde). [1re éd., 1945] javascript:return naviguerVers('')(G. Guèvremont, 1945).
infobulledef_sous_entree_in_TLFin_TLFin TLFiin Trésor de la langue française informatisé400démangerCet article s’appuie sur certaines données du TLFi.Rechercher « ###_entree_### » dans le TLFiLe Centre d’analyse et de traitement informatique du français québécois (CATIFQ)* a établi une convention de collaboration scientifique avec le Centre national de la recherche scientifique (CNRS), l’ATILF et le Trésor de la langue française, Université de Nancy. Dans le cadre de cette collaboration scientifique, l’équipe FRANQUS peut s’appuyer :sur des définitions du Trésor de la langue française concernant les mots ou sens très généraux de la francophonie, ne comportant pas de spécificité québécoise;sur la partie étymologique du Trésor de la langue française;sur des citations issues de Frantext pour les auteurs littéraires français.* Ce centre porte depuis 2016 le nom de Centre de recherche interuniversitaire sur le français en usage au Québec (CRIFUQ).