Plante des régions tempérées et froides, à fleurs roses ou blanches généralement réunies
en grappes ou en épis feuillus, suivies de longues gousses étroites éclatant à maturité
et laissant s’échapper de minuscules graines accrochées à une aigrette soyeuse, qui
forme souvent de vastes colonies dans les lieux incultes ou dévastés par les incendies
de forêt. [Genre Epilobium; famille des onagracées.] infobulleremarque_emprunt_REMREM.REMremarque250Abréviation de
remarque.REM. Au Québec, le mot épilobe désigne généralement l’épilobe en épi. « Déjà les épilobes sont en fleur, le long des fossés, en bordure des champs. La vive
couleur rosée, répandue à foison, déferle sur la campagne, dans la lumière qui n'est
plus tout à fait celle de l'été » noticeAnne_Hébert.bio.xmlAnne_Hébert_bio_xmlAnne HébertLes fous de BassanParis, Éditions du Seuil, 1982, 248 p. (Collection Points). javascript:return naviguerVers('')(A. Hébert, 1982). « Dans les endroits moins marécageux, se sont groupés en talles les épilobes : longues
et gracieuses hampes hautement avides de soleil, et dont la floraison soudaine et
massive est l'un des plus glorieux moments de la tourbière » noticeFélix-Antoine_Savard.bio.xmlFélix-Antoine_Savard_bio_xmlFélix-Antoine SavardLe barachoisMontréal et Paris, Éditions Fides, 1971, 173 p. (Collection du Nénuphar). [1re éd., 1959] javascript:return naviguerVers('')(F.-A. Savard, 1959). infobullenum_macro_sensnum_nuanceI, II, III…structuration de l’article250IMacrosensAMésosens1Sens◈Sous-sens‒Nuance
‒
épilobe en épi ou épilobe à feuilles étroites [E. angustifolium] : grande espèce commune de l’hémisphère Nord, à feuilles allongées, à fleurs roses ou
pourpres réunies en longues grappes.