torrent [tɔʀɑ̃] n. m.
1 Cours d'eau à forte pente des régions montagneuses ou accidentées, généralement de
faible longueur, à débit très irrégulier, sujet à des crues subites et violentes en
fonction des précipitations ou de la fonte des neiges; Q/C cours d'eau similaire, mais à débit permanent, très rapide et important. Torrent impétueux, infranchissable. Les eaux vives d'un torrent. Un torrent à peine visible sous la neige. « le mont Royal regorge de ruisseaux qui [...] se transforment en torrents à la fonte des neiges » (Le Devoir, 2001). « Puis tout disparut dans les gueules du torrent engloutisseur » (F.-A. Savard, 1937).
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géogr. torrent glaciaire, alimenté par les glaciers. 2 par anal. Liquide, fluide qui coule en abondance, se répand très rapidement. Des torrents de boue, de lave. Des torrents de fumée noire.
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par ext. Un torrent de feu, de flammes.
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Adv. complexe
à torrents. En abondance.
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à verse. Il pleuvait à torrents. 3 fig. Surabondance de choses qui semblent déferler, submerger.
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flot. Un torrent d'injures. Verser des torrents de larmes. « Ces paroles sacrilèges déclenchèrent un torrent de clameurs indignées qui s'abattit
sur le pauvre garçon » (Ch. Mistral, 1988).
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littér. Ce à quoi on ne peut s'opposer, résister. « Elle libère en moi un torrent de pitié dont je désire l'abreuver » (A. Langevin, 1953).
à torrents. En abondance.
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à verse. Il pleuvait à torrents. 3 fig. Surabondance de choses qui semblent déferler, submerger.
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flot. Un torrent d'injures. Verser des torrents de larmes. « Ces paroles sacrilèges déclenchèrent un torrent de clameurs indignées qui s'abattit
sur le pauvre garçon » (Ch. Mistral, 1988).
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littér. Ce à quoi on ne peut s'opposer, résister. « Elle libère en moi un torrent de pitié dont je désire l'abreuver » (A. Langevin, 1953). 
ORTHOGRAPHE
| nom masculin | |||||
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torrent
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