En Angleterre, titre de noblesse porté par les
femmes des lords. Les portraits de lady Hamilton. « Lady Frances Ryder, cette généreuse femme
qui mettait son appartement de Londres, tous les
jours, à l'heure du thé, à la disposition des
étudiants » noticeGabrielle_Roy.bio.xmlGabrielle_Roy_bio_xmlGabrielle RoyLa détresse et l'enchantementMontréal, Éditions du Boréal, 1996, 511 p. (Collection Boréal compact). [1re éd., 1984] javascript:return naviguerVers('')(G. Roy, 1984). infobullenum_macro_sensnum_sous_sensI, II, III…structuration de l’article250IMacrosensAMésosens1Sens◈Sous-sens‒Nuance
◈
infobulleliste_rhetorique_par_extpar_ext.par ext.par extension250Précisions rhétoriquesprecisionRhetoriqueIndicateur utilisé dans le cas d’un mot à qui l’on donne, outre son sens premier original et spécifique, un sens secondaire plus général.par ext. Femme distinguée. infobulleremarque_emprunt_REMREM.REMremarque250Abréviation de
remarque.REM. Les titres lady, lord et sir sont des titres de noblesse britanniques et des
titres honorifiques. L’usage typographique qui
s’applique à eux semble flottant; il est préférable,
et plus simple, de leur faire suivre la règle
générale du français et de les écrire en minuscules.
(Ex. : George Noel Gordon, connu sous
le nom de lord Byron.) Par ailleurs, lorsque le mot lady joint à un surnom devient le nom courant d’une
personne, il a une valeur de nom propre et on lui
met une majuscule. (Ex. : Les œuvres de Lady Di lui
survivent.)
infobulledef_sous_entree_in_TLFin_TLFin TLFiin Trésor de la langue française informatisé400ladyCet article s’appuie sur certaines données du TLFi.Rechercher « ###_entree_### » dans le TLFiLe Centre d’analyse et de traitement informatique du français québécois (CATIFQ)* a établi une convention de collaboration scientifique avec le Centre national de la recherche scientifique (CNRS), l’ATILF et le Trésor de la langue française, Université de Nancy. Dans le cadre de cette collaboration scientifique, l’équipe FRANQUS peut s’appuyer :sur des définitions du Trésor de la langue française concernant les mots ou sens très généraux de la francophonie, ne comportant pas de spécificité québécoise;sur la partie étymologique du Trésor de la langue française;sur des citations issues de Frantext pour les auteurs littéraires français.* Ce centre porte depuis 2016 le nom de Centre de recherche interuniversitaire sur le français en usage au Québec (CRIFUQ).