Plante semi-ligneuse parasite des arbres, qui se fixe aux branches et y développe
des boules de feuillage persistant vert jaunâtre et dont les plants femelles produisent
de petites baies à chair visqueuse qui sont souvent toxiques. [Genres Viscum (Eurasie) et Phoradendron (Amérique chaude et tropicale); famille des viscacées.] infobullenum_macro_sensnum_sous_sensI, II, III…structuration de l’article250IMacrosensAMésosens1Sens◈Sous-sens‒Nuance
◈
infobulleliste_rhetorique_spécialtspécialtspécialtspécialement250Précisions rhétoriquesprecisionRhetoriqueIndicateur utilisé dans le cas d’un mot à qui l’on donne, outre son sens premier original
et spécifique, un sens secondaire plus restreint.spécialt; infobulleliste_frequence_courcour.cour.courant250Indicateurs de fréquenceindicateursFrequenceLa marque courant insiste sur le fait que l’emploi est le plus utilisé en langue générale.cour. Plante de ce type, commune en Eurasie et en Afrique du Nord, à feuilles ovales et
à fruits toxiques d’un blanc translucide, qui parasite généralement des arbres feuillus
(pommiers, peupliers, trembles) et qui était considéré comme une plante sacrée dans
la culture gauloise (appelé aussi gui blanc d’Europe). [Espèce Viscum album; famille des viscacées.] Boule de gui. Branche de gui. « Feuille de gui » (chanson de J.-P. Ferland). « Dans plusieurs pays du monde, on s'embrasse à Noël ou au Nouvel An sous une branche
de gui. La tradition veut d'ailleurs que les amoureux qui ont échangé ce doux baiser
se marient au cours de l'année suivante. [...] Étrange paradoxe. Synonyme à travers les âges de bonne fortune, de longévité, d'amour,
parfois même considéré comme talisman contre le feu ou les sorcières, le gui n'est
pourtant qu'un vampire assoiffé qui vit aux dépens des arbres qu'il parasite » noticeJournalLa_Presse_bio_xmlLa_Presse.bio.xmlLa Presse Quotidien québécois publié à Montréal. (La Presse, 2009).