2. farce [faʀs] n. f. et adj.
1 Petite pièce de théâtre comique, aux nombreux
jeux de scène et aux plaisanteries parfois
grossières. Jouer une farce. La jalousie du
Barbouillé de Molière est une farce.
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(expression) Être le dindon de la farce.
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par anal. Une vraie farce, cette
histoire. C'est tellement ridicule, cela tourne à
la farce. 2 Tour plus ou moins plaisant, destiné à faire
rire les autres mais, plus souvent, à s’amuser à
leurs dépens.
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blague, canular, mystification, plaisanterie. Faire une farce à qqn. Des farces d’étudiants. « la victime pitoyable d'une farce loufoque
avec volées de tartes à la crème » (Y. Beauchemin, 1989).
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Boutique, magasin de farces et
attrapes, où l'on vend des objets amusants ou
truqués.
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Q/C fam. Une farce plate : plaisanterie qui ne fait pas rire, de
mauvais goût. « La faconde, la fluidité verbeuse, l’imagination, les gestes désordonnés, les fleurs
artificielles d’une rhétorique débraillée, voire la farce plate, peuvent provoquer
des succès éphémères et mériter aux débutants les acclamations des badauds sans cervelle » (H. de Montigny, 1951).
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fam. Sans farce : sérieusement.
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sans blague. Sans farce, il faut partir. 3 Adj. vieilli et fam. Burlesque, comique.
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burlesquecomique. Un auteur farce.
ORTHOGRAPHE
| nom féminin | adjectif | |||||||||||
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farce
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