Exemplification de l'article « marquer »
Exemples et cooccurrents
- marquer le coup
- fig. marquer le pas
- vieillifam. marquer mal
- marquer une pause, un temps d'arrêt
- marquer un point, des points
- fig. Marquer de la méfiance envers qqn.
- fig. Marquer de l’intérêt pour qqch.
- Marquer la mesure.
- Marquer le bétail.
- Marquer le mur d'un coup de poing.
- Marquer les points, les coups.
- Marquer qqch. au crayon.
- Marquer qqch. d’une croix, d’un repère, d'un signe.
- fig. Marquer sa surprise, son mécontentement, sa reconnaissance.
- Marquer ses effets personnels.
- (par méton.) Marquer un but, un essai, un panier.
- Marquer une adresse dans un calepin.
- Marquer une limite.
- sport Marquer un joueur, un adversaire.
- Marquer un jour d’unepierreblanche.
- Marquer un mot comme étant familier.
- chosesfig. Marquer untournant.
Plus d’exemples et cooccurrents
- fig. Cet épisode l’a marqué profondément.
- Crayon qui ne marque plus.
- spécialt Être marqué aucoinde.
- fig. Être marqué par la guerre.
- fig. Événement qui marque.
- absolt(par méton.) Ils n’ont pas marqué.
- spécialt Joue marquée d’une cicatrice.
- Le calendrier marque la date.
- chosesfig. Les rides marquent son âge.
- Le thermomètre marque la température.
- fig. Politicien qui marque.
- (sujet chose) Veste qui marque la taille.
Citations
Littéraires
-
Blanche avait regardé avec une fierté non dissimulée les jupons, tous marqués à son nom à l'encre de Chine
(Arlette Cousture, 1986). -
Ce sera un événement sans précédent, et il faudra bien marquer le coup
(Jean-Paul Desbiens, 1960). -
fig.
Cette soirée avait marqué un jalon important dans l'évolution de l'amitié des deux femmes
(Francine Noël, 1983). -
dans la joute qui nous oppose, vous venez de marquer un point
(Jacques Ferron, 1969). -
fig.
Il gardera toute sa vie le souvenir de ces voyages, auxquels il doit pour une bonne part sa vocation d'écrivain, et qui l'ont marqué définitivement
(Alain Grandbois, 1941). -
Il jeta un coup d'œil sur sa montre : elle marquait trois heures et quart
(Yves Beauchemin, 1989). -
Ilmarque un temps d'arrêt et s'amuse à faire languir Danielle qui attend la réponse
(Marco Micone, 1984). -
fig.
Ilsmarquent leur accord de principe par des hochements de tête vaguement fatalistes
(Monique Proulx, 1996). -
fig.
l'événement douloureux qui allait marquer ma première journée de classe à Marchand
(Gabrielle Roy, 1984). -
L'homme feuillette, trouve une page marquée d'un signet de papier
(Paul Zumthor, 1994). -
spécialt
Les femmes du pays de Natak avaient le visage marqué. Maïna ne connaissait pas encore le secret de ces lignes gravées dans leur chair
(Dominique Demers, 1997). -
Tout autour de la maisonnette, des traces de pas marquaient la neige
(Florence Nicole, 1994). -
(sujet chose)
un modeste enclos marqua l'endroit précis de sa sépulture
(Jean O'Neil, 1989).
Journalistiques
-
(par méton.)
il existe peu d'expérience plus grisante que marquer un but en prolongation durant les séries éliminatoires de la Coupe Stanley
(La Presse, 1991). -
fig.
Le chef d'orchestre de la haute fonction publique détermine alors ce qui avance et ce qui marque le pas
(Commerce, 1996).
Recherches associées
-
Avertissement : comprendre la lemmatisation automatique et ses limites
Dans les contextes des corpus du Fonds de données linguistiques du Québec (FDLQ) que vous consulterez, les mots ont été associés à leur forme de base, aussi appelée lemme, à l'aide d'un processus automatisé (appelé processus de lemmatisation automatique).
Par exemple :
- Les formes conjuguées d’un verbe (comme mange, mangeais, mangerons) sont associées à leur infinitif (manger).
- Les variantes d’un adjectif (comme grands, grande, grandes) sont associées à leur forme au masculin singulier (grand).
Étant donné que ces corpus ont été lemmatisés par une machine et non par des humains, certains mots ayant la même orthographe (comme le nom masculin couvent et la 3e personne du pluriel de l'indicatif présent couvent du verbe couver) pourraient avoir été mal identifiés par l'algorithme informatique.
Les contextes affichés ne sont pas triés par sens ou usage : il est donc essentiel de lire attentivement les phrases pour identifier le sens correct.
Par exemple :
- La recherche du mot ferme pourrait retourner des phrases avec ferme comme nom, adjectif ou verbe.
- La recherche du mot avocat inclura des phrases parlant de la profession ou du fruit, seul un humain étant capable de distinguer avec certitude l'un de l'autre dans un texte.
En cas de doute ou pour affiner vos recherches directement dans le FDLQ, essayez d’utiliser des mots ou des expressions qui précisent davantage le contexte (par exemple : ferme agricole ou décision ferme).
Ce qu’il faut retenirLa lemmatisation automatique a ses limites. Soyez donc attentif aux homographes, c’est-à-dire aux mots ayant la même orthographe, mais des sens différents, pour tirer pleinement parti des résultats de recherche.
