Il regardait la cicatrice qui dessinait un croissant de la commissure au milieu de la joue gauche
L’odeur des croissants chauds avait vite fait d’envahir toutes les pièces de mon appartement
L’ombre mystérieuse enveloppe à présent / La forêt et le lac absorbés dans leurs rêves / Mais voici qu’au-dessus des grands arbres pensifs / Le croissant apparaît, serein comme la gloire, / Versant ses lueurs d’or, à travers les massifs
Rares sont ceux qui osent s’aventurer dans le labyrinthe d’impasses, de ronds-points et de croissants qui sillonnent notre banlieue et qui, mieux que la clôture entourant notre périmètre, protègent nos secrets
Avec Israël, la Syrie et la Jordanie, le Liban est au cœur du Croissant fertile, la région la moins aride de l'Orient arabe
Dans les contextes des corpus du Fonds de données linguistiques du Québec (FDLQ) que vous consulterez, les mots ont été associés à leur forme de base, aussi appelée lemme, à l'aide d'un processus automatisé (appelé processus de lemmatisation automatique).
Par exemple :
Étant donné que ces corpus ont été lemmatisés par une machine et non par des humains, certains mots ayant la même orthographe (comme le nom masculin couvent et la 3e personne du pluriel de l'indicatif présent couvent du verbe couver) pourraient avoir été mal identifiés par l'algorithme informatique.
Les contextes affichés ne sont pas triés par sens ou usage : il est donc essentiel de lire attentivement les phrases pour identifier le sens correct.
Par exemple :
En cas de doute ou pour affiner vos recherches directement dans le FDLQ, essayez d’utiliser des mots ou des expressions qui précisent davantage le contexte (par exemple : ferme agricole ou décision ferme).
Ce qu’il faut retenirLa lemmatisation automatique a ses limites. Soyez donc attentif aux homographes, c’est-à-dire aux mots ayant la même orthographe, mais des sens différents, pour tirer pleinement parti des résultats de recherche.
Le lien suivant a été copié dans le presse-papiers :
urlCe mot fait partie de la liste orthographique (#listeNomComplet#) du ministère de l’Éducation et de l'Enseignement supérieur (MEQ) du Québec, élaborée en collaboration avec le Centre d’analyse et de traitement informatique du français québécois (CATIFQ) de l’Université de Sherbrooke.