Dans le miroir, je me suis dessiné un nouveau visage, avec des yeux de chat, une bouche coquelicot
Le coquelicot[...]est une redoutable mauvaise herbe en Europe. Au Canada, il n'apparaît pas sur cette liste fatidique et impitoyable des mauvaises herbes. Nous pouvons donc semer quelques coquelicots dans notre jardin. Il s'accommode d'un sol pauvre, caillouteux, neutre et sec
Le coquelicot que l'on porte à la boutonnière, le 11 novembre, rappelle les fleurs rouge sang qui fleurissaient sur les champs de bataille des Flandres et sur les tombes des soldats, chaque printemps, entre 1914 et 1918. Le fruit de la vente du coquelicot sert à offrir divers services aux anciens combattants et à leurs familles
Dans les contextes des corpus du Fonds de données linguistiques du Québec (FDLQ) que vous consulterez, les mots ont été associés à leur forme de base, aussi appelée lemme, à l'aide d'un processus automatisé (appelé processus de lemmatisation automatique).
Par exemple :
Étant donné que ces corpus ont été lemmatisés par une machine et non par des humains, certains mots ayant la même orthographe (comme le nom masculin couvent et la 3e personne du pluriel de l'indicatif présent couvent du verbe couver) pourraient avoir été mal identifiés par l'algorithme informatique.
Les contextes affichés ne sont pas triés par sens ou usage : il est donc essentiel de lire attentivement les phrases pour identifier le sens correct.
Par exemple :
En cas de doute ou pour affiner vos recherches directement dans le FDLQ, essayez d’utiliser des mots ou des expressions qui précisent davantage le contexte (par exemple : ferme agricole ou décision ferme).
Ce qu’il faut retenirLa lemmatisation automatique a ses limites. Soyez donc attentif aux homographes, c’est-à-dire aux mots ayant la même orthographe, mais des sens différents, pour tirer pleinement parti des résultats de recherche.
Le lien suivant a été copié dans le presse-papiers :
urlCe mot fait partie de la liste orthographique (#listeNomComplet#) du ministère de l’Éducation et de l'Enseignement supérieur (MEQ) du Québec, élaborée en collaboration avec le Centre d’analyse et de traitement informatique du français québécois (CATIFQ) de l’Université de Sherbrooke.