infobullebloc_emprunt_emprunt_lexicalanglicismesCritiquésAnglicismes critiquésAnglicismes critiqués400Nous présentons dans cette rubrique les emprunts à l’anglais qui, d’une part, sont largement attestés dans nos corpus textuels de référence et qui, d’autre part, sont ouvertement critiqués dans les principaux ouvrages utilisés au Québec comme références normatives. Dans un souci pédagogique, nous faisons suivre chacun des emprunts critiqués des
emplois français qui sont le plus généralement proposés comme substituts standards, parmi lesquels nous identifions ceux qui font l’objet d’une recommandation officielle (ou d’une proposition) de la part de l’Office québécois de la langue française (OQLF) ou d’une autre autorité normative francophone.Des marques géographiques permettent, le cas échéant, de distinguer parmi les emprunts signalés ceux qui sont caractéristiques du français en usage au Québec (Q/C) ou en France (F/E). Par ailleurs, nous ajoutons une remarque lorsque les emprunts mentionnés sont critiqués au Québec, mais admis comme standards en France.VOIR l’article thématique Les emprunts à l’anglais au Québec.ANGLICISME CRITIQUÉVOIR l’article thématique Les emprunts à l’anglais au Québec.
infobulle_étymologieétymologierubrique étymologiquerubrique étymologique400La rubrique étymologique, s’il y a lieu, peut contenir les ou un des éléments suivants :la date de la 1re attestation du mot en entrée;l’étymon, c’est-à-dire la forme à l’origine du mot de l’entrée;la langue ou le dialecte d’où provient l’étymon;le sens de l’étymon;la source d’où proviennent les informations de la rubrique étymologique, sous une forme abrégée;un complément d’information encyclopédiqueVOIR La rubrique étymologique, principes généraux.ÉTYMOLOGIE1910 infobulleliste_source_date_in_TLFQin_TLFQin TLFQin Trésor de la langue française au Québec400Cette étymologie s’appuie sur certaines données du TLFQ. Le Centre d’analyse et de traitement informatique du français québécois (CATIFQ)* a établi une convention
de collaboration scientifique avec le Trésor de la langue française au Québec (TLFQ).Dans le cadre de cette collaboration scientifique, l’équipe FRANQUS peut
s’appuyer sur certaines étymologies du Trésor de la langue française au Québec.* Ce centre porte depuis 2016 le nom de Centre de recherche interuniversitaire sur le français en usage au Québec (CRIFUQ).
Site du TLFQ(in TLFQ); de extension et -er; peut-être d'après l'anglais to extend. extensionner infobulleverbe_vv.v.verbe250Informations lexicogrammaticalesinfoLexicoAbréviation de
verbe.v.
infobulleliste_topolectal_UQ[UQ]Q/CParticularisme de l’usage québécois et canadien400Marques de répartition géographiquemarquesGeoCet emploi est caractéristique de la variété de français qui a cours au Québec et qui est largement répandue au Canada, ce qui signifie qu’il peut contribuer à distinguer cette variété nord-américaine de français de celle qui a cours en France et dans la francophonie européenne.Cela n’implique pas que cet emploi soit exclusif à l’usage nord‑américain du français, ni qu’il soit bien implanté dans la variété acadienne (qui se démarque du français québécois sur un certain nombre de points).Les particularismes de l’usage québécois et canadien sont parfois signalés comme tels dans les dictionnaires produits en France.Dans Usito, les emplois portant les marques Q/C et F/E sont généralement accompagnés de renvois synonymiques qui permettent d’établir rapidement des liens entre ces variantes géographiques et les autres ressources lexicales du français.Q/C L'emploi de extensionner est critiqué comme synonyme non standard de prolonger.
Prolonger une période de questions, un congé.