le skeleton fait un retour remarqué aux Jeux après une éclipse de... 74 ans
les réseaux ont bouleversé leur grille horaire pendant près de 24 heures. La dernière fois qu'on avait vu pareille éclipse médiatique, c'était en décembre dernier, après la mort d'un autre grand Québécois, Jean Béliveau
Une éclipse solaire totale est un phénomène astronomique rare. La prochaine aura lieu le 8 avril 2024 et le Québec sera aux premières loges[...]Il ne faut pas louper le phénomène. La prochaine éclipse solaire totale visible dans le sud du Québec aura lieu le 3 mai 2106, soit dans 83 ans
pour le plus grand bonheur du grand public, son éclipse médiatique a pris fin
Dans les contextes des corpus du Fonds de données linguistiques du Québec (FDLQ) que vous consulterez, les mots ont été associés à leur forme de base, aussi appelée lemme, à l'aide d'un processus automatisé (appelé processus de lemmatisation automatique).
Par exemple :
Étant donné que ces corpus ont été lemmatisés par une machine et non par des humains, certains mots ayant la même orthographe (comme le nom masculin couvent et la 3e personne du pluriel de l'indicatif présent couvent du verbe couver) pourraient avoir été mal identifiés par l'algorithme informatique.
Les contextes affichés ne sont pas triés par sens ou usage : il est donc essentiel de lire attentivement les phrases pour identifier le sens correct.
Par exemple :
En cas de doute ou pour affiner vos recherches directement dans le FDLQ, essayez d’utiliser des mots ou des expressions qui précisent davantage le contexte (par exemple : ferme agricole ou décision ferme).
Ce qu’il faut retenirLa lemmatisation automatique a ses limites. Soyez donc attentif aux homographes, c’est-à-dire aux mots ayant la même orthographe, mais des sens différents, pour tirer pleinement parti des résultats de recherche.
Le lien suivant a été copié dans le presse-papiers :
urlCe mot fait partie de la liste orthographique (#listeNomComplet#) du ministère de l’Éducation et de l'Enseignement supérieur (MEQ) du Québec, élaborée en collaboration avec le Centre d’analyse et de traitement informatique du français québécois (CATIFQ) de l’Université de Sherbrooke.