Elle s'emmitoufla dans son manteau, prit son manchon, cala sa toque sur ses cheveux défaits et sortit d'un pas décidé dans la noirceur remplie de rafales
les cheveux d'un noir ébène se rejoignaient à la nuque en une toque imposante
Ces vins méritent une place de choix tant à la table des plus grandes toques du pays qu'à celle des amateurs les plus difficiles
Les "toques" (bardanes), avec leurs dents crochues, s'agrippent aux poils des animaux – et à nos vêtements! – et voyagent ainsi librement. Comme elles sont irritantes cependant, l'animal se gratte pour les enlever... et voilà que les graines tombent parfois à plusieurs kilomètres de leur lieu d'origine
Dans les contextes des corpus du Fonds de données linguistiques du Québec (FDLQ) que vous consulterez, les mots ont été associés à leur forme de base, aussi appelée lemme, à l'aide d'un processus automatisé (appelé processus de lemmatisation automatique).
Par exemple :
Étant donné que ces corpus ont été lemmatisés par une machine et non par des humains, certains mots ayant la même orthographe (comme le nom masculin couvent et la 3e personne du pluriel de l'indicatif présent couvent du verbe couver) pourraient avoir été mal identifiés par l'algorithme informatique.
Les contextes affichés ne sont pas triés par sens ou usage : il est donc essentiel de lire attentivement les phrases pour identifier le sens correct.
Par exemple :
En cas de doute ou pour affiner vos recherches directement dans le FDLQ, essayez d’utiliser des mots ou des expressions qui précisent davantage le contexte (par exemple : ferme agricole ou décision ferme).
Ce qu’il faut retenirLa lemmatisation automatique a ses limites. Soyez donc attentif aux homographes, c’est-à-dire aux mots ayant la même orthographe, mais des sens différents, pour tirer pleinement parti des résultats de recherche.
Le lien suivant a été copié dans le presse-papiers :
urlCe mot fait partie de la liste orthographique (#listeNomComplet#) du ministère de l’Éducation et de l'Enseignement supérieur (MEQ) du Québec, élaborée en collaboration avec le Centre d’analyse et de traitement informatique du français québécois (CATIFQ) de l’Université de Sherbrooke.