Elle a développé son imagination car elle était terriblement seule dans son enfance
elle voulait rester seule avec ses songes, toute la journée elle songeait
Il bafouilla quelques mots et repartit, me laissant seule dans cette nuit glacée de novembre
Il espérait que je comprenne toute seule
Ils ne bougeaient même pas, et pourtant, du seul fait qu'ils se trouvaient en plein soleil, ils étaient tous les deux couverts de sueur
Je crus comprendre qu'il désirait me parler seul à seule
Je n'étais donc pas le seul à regretter son absence?
La fenêtre mal fermée s'ouvre toute seule
Pas une seule des jeunes filles présentes ne semblait attirée par une telle aventure
Une femme seule à qui personne ne parle s'éloigne
Vous ne traiterez qu'avec un seul, le chef
Dans les contextes des corpus du Fonds de données linguistiques du Québec (FDLQ) que vous consulterez, les mots ont été associés à leur forme de base, aussi appelée lemme, à l'aide d'un processus automatisé (appelé processus de lemmatisation automatique).
Par exemple :
Étant donné que ces corpus ont été lemmatisés par une machine et non par des humains, certains mots ayant la même orthographe (comme le nom masculin couvent et la 3e personne du pluriel de l'indicatif présent couvent du verbe couver) pourraient avoir été mal identifiés par l'algorithme informatique.
Les contextes affichés ne sont pas triés par sens ou usage : il est donc essentiel de lire attentivement les phrases pour identifier le sens correct.
Par exemple :
En cas de doute ou pour affiner vos recherches directement dans le FDLQ, essayez d’utiliser des mots ou des expressions qui précisent davantage le contexte (par exemple : ferme agricole ou décision ferme).
Ce qu’il faut retenirLa lemmatisation automatique a ses limites. Soyez donc attentif aux homographes, c’est-à-dire aux mots ayant la même orthographe, mais des sens différents, pour tirer pleinement parti des résultats de recherche.
Le lien suivant a été copié dans le presse-papiers :
urlCe mot fait partie de la liste orthographique (#listeNomComplet#) du ministère de l’Éducation et de l'Enseignement supérieur (MEQ) du Québec, élaborée en collaboration avec le Centre d’analyse et de traitement informatique du français québécois (CATIFQ) de l’Université de Sherbrooke.