Cette vengeance secrète la réjouit et elle se mit à sourire
Elle flatta le dogue pour se donner une contenance et se réjouit que son maître le rejoigne enfin
elle se réjouissait de me voir avant même de saisir pourquoi
les âmes jeunes[...]s'effraient moins de la vieillesse lorsqu'elles la voient encore capable de s'émerveiller et de se réjouir à leur vue
ne vous réjouissez pas trop vite, continua mon père. Il n'y a pas d'exemple, dans cette maison, que vous ayez pu me mentir sans que je vous découvre
une imprécation énergiquement mâchonnée venait expirer sur sa lèvre, dans une grimace moitié colère, moitié réjouie
Ilse réjouit de ce que l'aide jadis réservée aux élèves qui devaient quitter leur région soit maintenant accessible à toutes et tous
Dans les contextes des corpus du Fonds de données linguistiques du Québec (FDLQ) que vous consulterez, les mots ont été associés à leur forme de base, aussi appelée lemme, à l'aide d'un processus automatisé (appelé processus de lemmatisation automatique).
Par exemple :
Étant donné que ces corpus ont été lemmatisés par une machine et non par des humains, certains mots ayant la même orthographe (comme le nom masculin couvent et la 3e personne du pluriel de l'indicatif présent couvent du verbe couver) pourraient avoir été mal identifiés par l'algorithme informatique.
Les contextes affichés ne sont pas triés par sens ou usage : il est donc essentiel de lire attentivement les phrases pour identifier le sens correct.
Par exemple :
En cas de doute ou pour affiner vos recherches directement dans le FDLQ, essayez d’utiliser des mots ou des expressions qui précisent davantage le contexte (par exemple : ferme agricole ou décision ferme).
Ce qu’il faut retenirLa lemmatisation automatique a ses limites. Soyez donc attentif aux homographes, c’est-à-dire aux mots ayant la même orthographe, mais des sens différents, pour tirer pleinement parti des résultats de recherche.
Le lien suivant a été copié dans le presse-papiers :
urlCe mot fait partie de la liste orthographique (#listeNomComplet#) du ministère de l’Éducation et de l'Enseignement supérieur (MEQ) du Québec, élaborée en collaboration avec le Centre d’analyse et de traitement informatique du français québécois (CATIFQ) de l’Université de Sherbrooke.