Exemplification de l'article « quoi »
Exemples et cooccurrents
- (dans l'interrogative directe) quoi de
- (constr. concessive) quoi qu'il en soit
- (constr. concessive) quoi que
- (jouant le rôle d’interj.) Quoi! Est-ce possible?
- (dans l'interrogative directe) Quoi de neuf?
- (avec un infinitif) Quoi dire en pareil cas?
- ellipt Quoi encore?
Plus d’exemples et cooccurrents
- (sans antécédent)ellipt de quoi
- (dans l'interrogative directe)ellipt À quoibon?
- (complément introduit par une préposition) À quoi jouez-vous?
- (complément introduit par une préposition) Ce pour quoi elle continue.
- (complément introduit par une préposition)fam. Commequoi.
- (devant est-ce que) Contre quoi est-ce que je me bats?
- (complément introduit par une préposition) De quoi a-t-il peur?
- (sans antécédent) De quoi vivre.
- (devant est-ce que) En quoi est-ce que je crois?
- ellipt Hé, toi! – Quoi?
- (complément introduit par une préposition) Il cherche quelque chose sur quoi il pourrait grimper.
- (dans l'interrogative indirecte) Il ignore avec quoi il fera le travail.
- (sans antécédent) Il n'y a pas de quoi s'inquiéter.
- (complément introduit par une préposition) Il n'y avait rien à quoi adhérer.
- Je-ne-sais-quoi.
- (complément introduit par une préposition) Mangez, sans quoi vous aurez faim cette nuit.
- (sans antécédent)ellipt Merci. – Il n'y a pas de quoi.
- N'importequoi.
- (avec un infinitif) Pour quoi faire?
- (précédé de voici ou de voilà) Voilà à quoi on pense.
Citations
Littéraires
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(complément introduit par une préposition)
ces mots étranges avec quoi les anciens couronnaient les héros
(Félix-Antoine Savard, 1943). -
(dans l'interrogative indirecte)
Elle ne sait plus sur quoi fixer ses yeux
(Monique Proulx, 1996). -
(complément introduit par une préposition)
Ilétait sommé de se présenter dans l'heure faute de quoi on coupait son salaire
(Monique LaRue, 2002). -
(jouant le rôle d’interj.)fam.
On ne pouvait pas savoir qu'elle dormait, quoi!
(Réjean Ducharme, 1973). -
(dans l'interrogative directe)
Quoi de plus civilisé, de plus libre pourtant, que le calme nocturne?
(Gilles Archambault, 1970). -
(constr. concessive)
Quoi que l'homme dise ou fasse, il ne peut changer cela, qu'il vit
(Jacques Folch-Ribas, 1989).
Recherches associées
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Avertissement : comprendre la lemmatisation automatique et ses limites
Dans les contextes des corpus du Fonds de données linguistiques du Québec (FDLQ) que vous consulterez, les mots ont été associés à leur forme de base, aussi appelée lemme, à l'aide d'un processus automatisé (appelé processus de lemmatisation automatique).
Par exemple :
- Les formes conjuguées d’un verbe (comme mange, mangeais, mangerons) sont associées à leur infinitif (manger).
- Les variantes d’un adjectif (comme grands, grande, grandes) sont associées à leur forme au masculin singulier (grand).
Étant donné que ces corpus ont été lemmatisés par une machine et non par des humains, certains mots ayant la même orthographe (comme le nom masculin couvent et la 3e personne du pluriel de l'indicatif présent couvent du verbe couver) pourraient avoir été mal identifiés par l'algorithme informatique.
Les contextes affichés ne sont pas triés par sens ou usage : il est donc essentiel de lire attentivement les phrases pour identifier le sens correct.
Par exemple :
- La recherche du mot ferme pourrait retourner des phrases avec ferme comme nom, adjectif ou verbe.
- La recherche du mot avocat inclura des phrases parlant de la profession ou du fruit, seul un humain étant capable de distinguer avec certitude l'un de l'autre dans un texte.
En cas de doute ou pour affiner vos recherches directement dans le FDLQ, essayez d’utiliser des mots ou des expressions qui précisent davantage le contexte (par exemple : ferme agricole ou décision ferme).
Ce qu’il faut retenirLa lemmatisation automatique a ses limites. Soyez donc attentif aux homographes, c’est-à-dire aux mots ayant la même orthographe, mais des sens différents, pour tirer pleinement parti des résultats de recherche.
