Je venais de permettre qu'elle fasse une de ces choses qui pourrissent un amour
L'eau s'infiltrait lentement dans le sol, pourrissant les cercueils en quelques mois
Le bien paternel aura aidé à te pourrir
Mieux vaudrait la laisser pourrir dans le noir marécage où elle s'est jetée
on se réfugie au pied de la vieille clôture qui sépare les cours, juste là où les planches pourrissent et se disloquent
Une odeur de renfermé, de nourriture qui pourrit flotte dans l'appartement
ils fourniront des arguments nouveaux à ceux qui ont déjà opté pour une solution radicale à un problème qui pourrit depuis trop longtemps
Dans les contextes des corpus du Fonds de données linguistiques du Québec (FDLQ) que vous consulterez, les mots ont été associés à leur forme de base, aussi appelée lemme, à l'aide d'un processus automatisé (appelé processus de lemmatisation automatique).
Par exemple :
Étant donné que ces corpus ont été lemmatisés par une machine et non par des humains, certains mots ayant la même orthographe (comme le nom masculin couvent et la 3e personne du pluriel de l'indicatif présent couvent du verbe couver) pourraient avoir été mal identifiés par l'algorithme informatique.
Les contextes affichés ne sont pas triés par sens ou usage : il est donc essentiel de lire attentivement les phrases pour identifier le sens correct.
Par exemple :
En cas de doute ou pour affiner vos recherches directement dans le FDLQ, essayez d’utiliser des mots ou des expressions qui précisent davantage le contexte (par exemple : ferme agricole ou décision ferme).
Ce qu’il faut retenirLa lemmatisation automatique a ses limites. Soyez donc attentif aux homographes, c’est-à-dire aux mots ayant la même orthographe, mais des sens différents, pour tirer pleinement parti des résultats de recherche.
Le lien suivant a été copié dans le presse-papiers :
urlCe mot fait partie de la liste orthographique (#listeNomComplet#) du ministère de l’Éducation et de l'Enseignement supérieur (MEQ) du Québec, élaborée en collaboration avec le Centre d’analyse et de traitement informatique du français québécois (CATIFQ) de l’Université de Sherbrooke.