Ah, pour être bons, ils sont bons, c'est garanti
Et pourquoi ferais-tu une chose pareille? Pour mes beaux yeux, peut-être?
Ils ouvriraient les yeux / Pour admirer le monde, / Pour jouir de la beauté
J'étais pour aller au poste de police, de quoi j'aurais eu l'air?
je croyais entendre qu'elle implorait mon pardon pour avoir trahi mes confidences
La température, très douce pour la saison, avait transformé son manteau en fournaise
pour lui le monde sera toujours plein du bruit des vagues
Une cuillerée pour André! – Une cuillerée pour Émile! Sans appétit, elle avalait avec peine pour leur faire plaisir
Une heure d'amour pour vingt-trois heures de tourments, voilà comment nous vivions
Pour ce qui est de l'avenir, le spécialiste est enthousiaste
Dans les contextes des corpus du Fonds de données linguistiques du Québec (FDLQ) que vous consulterez, les mots ont été associés à leur forme de base, aussi appelée lemme, à l'aide d'un processus automatisé (appelé processus de lemmatisation automatique).
Par exemple :
Étant donné que ces corpus ont été lemmatisés par une machine et non par des humains, certains mots ayant la même orthographe (comme le nom masculin couvent et la 3e personne du pluriel de l'indicatif présent couvent du verbe couver) pourraient avoir été mal identifiés par l'algorithme informatique.
Les contextes affichés ne sont pas triés par sens ou usage : il est donc essentiel de lire attentivement les phrases pour identifier le sens correct.
Par exemple :
En cas de doute ou pour affiner vos recherches directement dans le FDLQ, essayez d’utiliser des mots ou des expressions qui précisent davantage le contexte (par exemple : ferme agricole ou décision ferme).
Ce qu’il faut retenirLa lemmatisation automatique a ses limites. Soyez donc attentif aux homographes, c’est-à-dire aux mots ayant la même orthographe, mais des sens différents, pour tirer pleinement parti des résultats de recherche.
Le lien suivant a été copié dans le presse-papiers :
urlCe mot fait partie de la liste orthographique (#listeNomComplet#) du ministère de l’Éducation et de l'Enseignement supérieur (MEQ) du Québec, élaborée en collaboration avec le Centre d’analyse et de traitement informatique du français québécois (CATIFQ) de l’Université de Sherbrooke.