Bah! vous vous inquiétez en pure perte, je vous assure
Ces jeunes gens discouraient à perte de vue de sujets théoriques
il était peut-être le seul père du village qui ne pleurerait pas la perte d'un enfant
Il exprima par un geste[...]que les bénéfices ou pertes éventuels lui importaient peu
j'ai pris la pleine mesure du chagrin que j'éprouvais de la perte de notre maison
la perte du navire sur un point du trente-septième parallèle
Ma mère a commencé de présenter des pertes de mémoire[...]deux ans après un grave accident de la circulation
Son père et sa mère eurent à soutenir un procès dont la perte devait entacher leur probité
Un minimum de sagesse fera de ce don son salut, mais un minimum de folie en fera sa perte
Dans les contextes des corpus du Fonds de données linguistiques du Québec (FDLQ) que vous consulterez, les mots ont été associés à leur forme de base, aussi appelée lemme, à l'aide d'un processus automatisé (appelé processus de lemmatisation automatique).
Par exemple :
Étant donné que ces corpus ont été lemmatisés par une machine et non par des humains, certains mots ayant la même orthographe (comme le nom masculin couvent et la 3e personne du pluriel de l'indicatif présent couvent du verbe couver) pourraient avoir été mal identifiés par l'algorithme informatique.
Les contextes affichés ne sont pas triés par sens ou usage : il est donc essentiel de lire attentivement les phrases pour identifier le sens correct.
Par exemple :
En cas de doute ou pour affiner vos recherches directement dans le FDLQ, essayez d’utiliser des mots ou des expressions qui précisent davantage le contexte (par exemple : ferme agricole ou décision ferme).
Ce qu’il faut retenirLa lemmatisation automatique a ses limites. Soyez donc attentif aux homographes, c’est-à-dire aux mots ayant la même orthographe, mais des sens différents, pour tirer pleinement parti des résultats de recherche.
Le lien suivant a été copié dans le presse-papiers :
urlCe mot fait partie de la liste orthographique (#listeNomComplet#) du ministère de l’Éducation et de l'Enseignement supérieur (MEQ) du Québec, élaborée en collaboration avec le Centre d’analyse et de traitement informatique du français québécois (CATIFQ) de l’Université de Sherbrooke.