elle appréciait la compagnie d'Henri, même s'il ne faisait rien naître en elle comme l'avait fait Ovila
il sentit monter en lui un sentiment de colère né du ridicule de la situation et de la crainte qu'on ne se moquât de lui
jamais Ursule ne fut plus candide qu'en ce moment où elle naissait à une nouvelle vie
La plus grande malédiction, c'est de n'être pas né aimable
Le quatorze du mois de février, par une très forte froidure, naquit la première fille de Gédéon de Catalogne et de Marie-Anne Lemire
nous étions nés pour nous rencontrer et pour nous comprendre
La vendange est magnifique et un millésime exceptionnel vient de naître
Dans les contextes des corpus du Fonds de données linguistiques du Québec (FDLQ) que vous consulterez, les mots ont été associés à leur forme de base, aussi appelée lemme, à l'aide d'un processus automatisé (appelé processus de lemmatisation automatique).
Par exemple :
Étant donné que ces corpus ont été lemmatisés par une machine et non par des humains, certains mots ayant la même orthographe (comme le nom masculin couvent et la 3e personne du pluriel de l'indicatif présent couvent du verbe couver) pourraient avoir été mal identifiés par l'algorithme informatique.
Les contextes affichés ne sont pas triés par sens ou usage : il est donc essentiel de lire attentivement les phrases pour identifier le sens correct.
Par exemple :
En cas de doute ou pour affiner vos recherches directement dans le FDLQ, essayez d’utiliser des mots ou des expressions qui précisent davantage le contexte (par exemple : ferme agricole ou décision ferme).
Ce qu’il faut retenirLa lemmatisation automatique a ses limites. Soyez donc attentif aux homographes, c’est-à-dire aux mots ayant la même orthographe, mais des sens différents, pour tirer pleinement parti des résultats de recherche.
Le lien suivant a été copié dans le presse-papiers :
urlCe mot fait partie de la liste orthographique (#listeNomComplet#) du ministère de l’Éducation et de l'Enseignement supérieur (MEQ) du Québec, élaborée en collaboration avec le Centre d’analyse et de traitement informatique du français québécois (CATIFQ) de l’Université de Sherbrooke.