Elle s'efforce de paraître naturelle, sa voix la trahit
il avait malgré tout conservé du naturel et beaucoup de qualités humaines
Il indique les prix qui auront cours pour chaque variété de fourrures; il encourage les naturels à la chasse
Il possédait le goût naturel de l'aventure, et il se préparait pour l'apostolat des contrées lointaines
la beauté est un don naturel qui échoit tout aussi bien à la plus misérable des femmes qu'à la plus digne et à la plus aimée
Mon pères'épanouissait[...]dans la confortable certitude que sa femme était heureuse autant que lui, nous de même, par conséquence naturelle
Ses cheveux ondoyaient et ce blond tirant sur le roux était naturel, c'était le blond vénitien, le blond du Titien!
Dans les contextes des corpus du Fonds de données linguistiques du Québec (FDLQ) que vous consulterez, les mots ont été associés à leur forme de base, aussi appelée lemme, à l'aide d'un processus automatisé (appelé processus de lemmatisation automatique).
Par exemple :
Étant donné que ces corpus ont été lemmatisés par une machine et non par des humains, certains mots ayant la même orthographe (comme le nom masculin couvent et la 3e personne du pluriel de l'indicatif présent couvent du verbe couver) pourraient avoir été mal identifiés par l'algorithme informatique.
Les contextes affichés ne sont pas triés par sens ou usage : il est donc essentiel de lire attentivement les phrases pour identifier le sens correct.
Par exemple :
En cas de doute ou pour affiner vos recherches directement dans le FDLQ, essayez d’utiliser des mots ou des expressions qui précisent davantage le contexte (par exemple : ferme agricole ou décision ferme).
Ce qu’il faut retenirLa lemmatisation automatique a ses limites. Soyez donc attentif aux homographes, c’est-à-dire aux mots ayant la même orthographe, mais des sens différents, pour tirer pleinement parti des résultats de recherche.
Le lien suivant a été copié dans le presse-papiers :
urlCe mot fait partie de la liste orthographique (#listeNomComplet#) du ministère de l’Éducation et de l'Enseignement supérieur (MEQ) du Québec, élaborée en collaboration avec le Centre d’analyse et de traitement informatique du français québécois (CATIFQ) de l’Université de Sherbrooke.