Elle n'a rien vu. Elle était loin déjà. Et c'était mieux ainsi
Il enseignait de mieux en mieux ce qu'il connaissait de mieux en mieux
Il pouvait expliquer une marguerite mieux que celui qui l'effeuillait
J'aurais mieux fait de me lever et d'aller rire avec eux
je naviguais de mon mieux dans ces eaux troubles, sans montrer signe d'émoi
Ne t'attarde pas à regretter ce que tu as fait : recommence en mieux
Quand on n'a rien à dire, le mieux c'est de se taire
tout le monde se met à taquiner mon père à qui mieux mieux
Tu serais peut-être mieux dans la maison pour tricoter
Vous êtes mieux d'être convaincants parce que ça va aller mal
Dans les contextes des corpus du Fonds de données linguistiques du Québec (FDLQ) que vous consulterez, les mots ont été associés à leur forme de base, aussi appelée lemme, à l'aide d'un processus automatisé (appelé processus de lemmatisation automatique).
Par exemple :
Étant donné que ces corpus ont été lemmatisés par une machine et non par des humains, certains mots ayant la même orthographe (comme le nom masculin couvent et la 3e personne du pluriel de l'indicatif présent couvent du verbe couver) pourraient avoir été mal identifiés par l'algorithme informatique.
Les contextes affichés ne sont pas triés par sens ou usage : il est donc essentiel de lire attentivement les phrases pour identifier le sens correct.
Par exemple :
En cas de doute ou pour affiner vos recherches directement dans le FDLQ, essayez d’utiliser des mots ou des expressions qui précisent davantage le contexte (par exemple : ferme agricole ou décision ferme).
Ce qu’il faut retenirLa lemmatisation automatique a ses limites. Soyez donc attentif aux homographes, c’est-à-dire aux mots ayant la même orthographe, mais des sens différents, pour tirer pleinement parti des résultats de recherche.
Le lien suivant a été copié dans le presse-papiers :
urlCe mot fait partie de la liste orthographique (#listeNomComplet#) du ministère de l’Éducation et de l'Enseignement supérieur (MEQ) du Québec, élaborée en collaboration avec le Centre d’analyse et de traitement informatique du français québécois (CATIFQ) de l’Université de Sherbrooke.