J'étais en léthargie et[...]je me laissai aller à une innocence végétale, me nourrissant presque exclusivement de lumière et de silence, comme une fougère sur le bord de la fenêtre
Je suis cette forêt étrange aux odeurs de mousse humide et de fougères fanées
Jusqu'au milieu du siècle dernier, rares étaient les maisons où ne trônait pas une grosse fougère de Boston sur un piédestal dans le salon, alors réservé strictement aux visiteurs. On les trouvait également dans les églises, dans les couvents et même dans les hôpitaux
La fougère-à-l'aigle se trouve partout au monde dans les régions tempérées[...]Beaucoup de peuples, partout sur la planète, ont déjà mangé ses grosses racines, riches en amidon. Malheureusement, cette plante est pleine de toxines
Dans les contextes des corpus du Fonds de données linguistiques du Québec (FDLQ) que vous consulterez, les mots ont été associés à leur forme de base, aussi appelée lemme, à l'aide d'un processus automatisé (appelé processus de lemmatisation automatique).
Par exemple :
Étant donné que ces corpus ont été lemmatisés par une machine et non par des humains, certains mots ayant la même orthographe (comme le nom masculin couvent et la 3e personne du pluriel de l'indicatif présent couvent du verbe couver) pourraient avoir été mal identifiés par l'algorithme informatique.
Les contextes affichés ne sont pas triés par sens ou usage : il est donc essentiel de lire attentivement les phrases pour identifier le sens correct.
Par exemple :
En cas de doute ou pour affiner vos recherches directement dans le FDLQ, essayez d’utiliser des mots ou des expressions qui précisent davantage le contexte (par exemple : ferme agricole ou décision ferme).
Ce qu’il faut retenirLa lemmatisation automatique a ses limites. Soyez donc attentif aux homographes, c’est-à-dire aux mots ayant la même orthographe, mais des sens différents, pour tirer pleinement parti des résultats de recherche.
Le lien suivant a été copié dans le presse-papiers :
urlCe mot fait partie de la liste orthographique (#listeNomComplet#) du ministère de l’Éducation et de l'Enseignement supérieur (MEQ) du Québec, élaborée en collaboration avec le Centre d’analyse et de traitement informatique du français québécois (CATIFQ) de l’Université de Sherbrooke.