Et c'est en creux que s'insère, lancinant dans son perpétuel échec, le projet d'une fondation, d'une invention du monde
Iln'avait jamais fait que lui raconter des histoires, une histoire creuse, toujours la même, du vent
Ilrevenait[...]à sept heures, les yeux creux, fatigué et déprimé
J'avais la cervelle creuse. Et je voulais qu'elle reste comme ça
les longues heures creuses du dimanche après-midi où l'on se dit : "Vite, que demain arrive!"
Les récits médiévaux des Scandinaves l'indiquent en creux : des navires vikings ont, bien longtemps avant les vaisseaux de Christophe Colomb, rallié l'Amérique.
Même s'il disait être bien portant, elle s'inquiétait de ses joues creuses
la fontaine était creuse, elle est tombée au fond
Dans les contextes des corpus du Fonds de données linguistiques du Québec (FDLQ) que vous consulterez, les mots ont été associés à leur forme de base, aussi appelée lemme, à l'aide d'un processus automatisé (appelé processus de lemmatisation automatique).
Par exemple :
Étant donné que ces corpus ont été lemmatisés par une machine et non par des humains, certains mots ayant la même orthographe (comme le nom masculin couvent et la 3e personne du pluriel de l'indicatif présent couvent du verbe couver) pourraient avoir été mal identifiés par l'algorithme informatique.
Les contextes affichés ne sont pas triés par sens ou usage : il est donc essentiel de lire attentivement les phrases pour identifier le sens correct.
Par exemple :
En cas de doute ou pour affiner vos recherches directement dans le FDLQ, essayez d’utiliser des mots ou des expressions qui précisent davantage le contexte (par exemple : ferme agricole ou décision ferme).
Ce qu’il faut retenirLa lemmatisation automatique a ses limites. Soyez donc attentif aux homographes, c’est-à-dire aux mots ayant la même orthographe, mais des sens différents, pour tirer pleinement parti des résultats de recherche.
Le lien suivant a été copié dans le presse-papiers :
urlCe mot fait partie de la liste orthographique (#listeNomComplet#) du ministère de l’Éducation et de l'Enseignement supérieur (MEQ) du Québec, élaborée en collaboration avec le Centre d’analyse et de traitement informatique du français québécois (CATIFQ) de l’Université de Sherbrooke.