Chaque matin, le berger communal, au son d'une corne, assemblait son troupeau
il avait tout de même décidé de prendre le taureau par les cornes et de chercher secours là où il croyait le trouver
le ciel voilé laisse à peine sortir des nuages les cornes de la lune
Les démons,[...]au chef hérissé de cornes
Par milliers, les bisons arrivent, tête basse, cornes effilées et courtes, poitrail large, crinière au vent
un petit couteau court dont la lame ébréchée se refermait sur un manche de corne noire
Violetta se pencha vers la vipère à cornes qui avait dessiné des vagues dans le sable de son vivarium
Découverte donc d'une foule de bolets, de chanterelles dont l'excellente fausse corne d'abondance
Dans les contextes des corpus du Fonds de données linguistiques du Québec (FDLQ) que vous consulterez, les mots ont été associés à leur forme de base, aussi appelée lemme, à l'aide d'un processus automatisé (appelé processus de lemmatisation automatique).
Par exemple :
Étant donné que ces corpus ont été lemmatisés par une machine et non par des humains, certains mots ayant la même orthographe (comme le nom masculin couvent et la 3e personne du pluriel de l'indicatif présent couvent du verbe couver) pourraient avoir été mal identifiés par l'algorithme informatique.
Les contextes affichés ne sont pas triés par sens ou usage : il est donc essentiel de lire attentivement les phrases pour identifier le sens correct.
Par exemple :
En cas de doute ou pour affiner vos recherches directement dans le FDLQ, essayez d’utiliser des mots ou des expressions qui précisent davantage le contexte (par exemple : ferme agricole ou décision ferme).
Ce qu’il faut retenirLa lemmatisation automatique a ses limites. Soyez donc attentif aux homographes, c’est-à-dire aux mots ayant la même orthographe, mais des sens différents, pour tirer pleinement parti des résultats de recherche.
Le lien suivant a été copié dans le presse-papiers :
urlCe mot fait partie de la liste orthographique (#listeNomComplet#) du ministère de l’Éducation et de l'Enseignement supérieur (MEQ) du Québec, élaborée en collaboration avec le Centre d’analyse et de traitement informatique du français québécois (CATIFQ) de l’Université de Sherbrooke.