Anne remue, se tourne, son dos si lisse, cette chute de reins avec des petites cavités douces
Elle lui permettrait même de garder les chutes de tissu si elle terminait la jupe pour le dîner
L'eau jaillissait en bouillons glacials, s'élançait en une chute d'une dizaine de mètres sur un enchevêtrement de rocs
la panique créée par une action directe sur le cours de la Bourse provoquerait une chute de ses titres
la popularité de la sociologie est en chute libre depuis le début des années 80
Le premier sentiment d'Adam, après la chute, fut d'entrer en possession du monde et de lui même
le saut en parachute, quoi de plus exaltant, il[...]sauterait en chute libre, d'un avion, une minute, cela ne durerait qu'une minute et ce serait le déploiement du parachute
Dans les contextes des corpus du Fonds de données linguistiques du Québec (FDLQ) que vous consulterez, les mots ont été associés à leur forme de base, aussi appelée lemme, à l'aide d'un processus automatisé (appelé processus de lemmatisation automatique).
Par exemple :
Étant donné que ces corpus ont été lemmatisés par une machine et non par des humains, certains mots ayant la même orthographe (comme le nom masculin couvent et la 3e personne du pluriel de l'indicatif présent couvent du verbe couver) pourraient avoir été mal identifiés par l'algorithme informatique.
Les contextes affichés ne sont pas triés par sens ou usage : il est donc essentiel de lire attentivement les phrases pour identifier le sens correct.
Par exemple :
En cas de doute ou pour affiner vos recherches directement dans le FDLQ, essayez d’utiliser des mots ou des expressions qui précisent davantage le contexte (par exemple : ferme agricole ou décision ferme).
Ce qu’il faut retenirLa lemmatisation automatique a ses limites. Soyez donc attentif aux homographes, c’est-à-dire aux mots ayant la même orthographe, mais des sens différents, pour tirer pleinement parti des résultats de recherche.
Le lien suivant a été copié dans le presse-papiers :
urlCe mot fait partie de la liste orthographique (#listeNomComplet#) du ministère de l’Éducation et de l'Enseignement supérieur (MEQ) du Québec, élaborée en collaboration avec le Centre d’analyse et de traitement informatique du français québécois (CATIFQ) de l’Université de Sherbrooke.