Ce jonc que je porte au cou, pendu à ma chaîne
cette chaîne qui devait être notre amitié
Dans la grande chaîne de la vie / Où il fallait que nous passions
Ho donc! vous autres. Il y a une voie d'eau dans la cave.[...]Il fallut faire la chaîne en se passant les sacs, les poches, les barils, les pots et les seaux
Le téléphone me réveilla : cette sonnerie allait déclencher une réaction en chaîne, du genre atomique
On tirait le mou de la chaîne
Pour briser nos chaînes / Sonnent canons et tambours
l'historique de propriété est conservé et disponible publiquement grâce à la technologie de la chaîne de blocs
le bitcoin est régi par une chaîne de blocs, le nom donné au registre décentralisé où sont inscrites toutes les transactions et qui assure leur véracité
Dans les contextes des corpus du Fonds de données linguistiques du Québec (FDLQ) que vous consulterez, les mots ont été associés à leur forme de base, aussi appelée lemme, à l'aide d'un processus automatisé (appelé processus de lemmatisation automatique).
Par exemple :
Étant donné que ces corpus ont été lemmatisés par une machine et non par des humains, certains mots ayant la même orthographe (comme le nom masculin couvent et la 3e personne du pluriel de l'indicatif présent couvent du verbe couver) pourraient avoir été mal identifiés par l'algorithme informatique.
Les contextes affichés ne sont pas triés par sens ou usage : il est donc essentiel de lire attentivement les phrases pour identifier le sens correct.
Par exemple :
En cas de doute ou pour affiner vos recherches directement dans le FDLQ, essayez d’utiliser des mots ou des expressions qui précisent davantage le contexte (par exemple : ferme agricole ou décision ferme).
Ce qu’il faut retenirLa lemmatisation automatique a ses limites. Soyez donc attentif aux homographes, c’est-à-dire aux mots ayant la même orthographe, mais des sens différents, pour tirer pleinement parti des résultats de recherche.
Le lien suivant a été copié dans le presse-papiers :
urlCe mot fait partie de la liste orthographique (#listeNomComplet#) du ministère de l’Éducation et de l'Enseignement supérieur (MEQ) du Québec, élaborée en collaboration avec le Centre d’analyse et de traitement informatique du français québécois (CATIFQ) de l’Université de Sherbrooke.