En 1963, lors d'un encan à Paris, il avait acheté pour une bouchée de pain de poussiéreuses draperies de velours bleu nuit[...]qui se révélèrent quelques jours plus tard comme ayant appartenu à nul autre que le compositeur Hector Berlioz
Le midi, elle[...]servait les enfants et, dès leur dernière bouchée avalée, elle avait déjà commencé à préparer le repas du soir
le pugiliste acharné sur son adversaire, convaincu qu'il n'en fera qu'une bouchée
Les gens qui m'avaient amenée, pressés[...]de rentrer avant la nuit, ne s'étaient arrêtés nulle part où nous aurions pu prendre une bouchée
L'excellence, c'est[...]quand on sent que l'on n'a ménagé aucun effort pour mener à bien une tâche, que l'on a mis les bouchées doubles pour respecter une échéance
Dans les contextes des corpus du Fonds de données linguistiques du Québec (FDLQ) que vous consulterez, les mots ont été associés à leur forme de base, aussi appelée lemme, à l'aide d'un processus automatisé (appelé processus de lemmatisation automatique).
Par exemple :
Étant donné que ces corpus ont été lemmatisés par une machine et non par des humains, certains mots ayant la même orthographe (comme le nom masculin couvent et la 3e personne du pluriel de l'indicatif présent couvent du verbe couver) pourraient avoir été mal identifiés par l'algorithme informatique.
Les contextes affichés ne sont pas triés par sens ou usage : il est donc essentiel de lire attentivement les phrases pour identifier le sens correct.
Par exemple :
En cas de doute ou pour affiner vos recherches directement dans le FDLQ, essayez d’utiliser des mots ou des expressions qui précisent davantage le contexte (par exemple : ferme agricole ou décision ferme).
Ce qu’il faut retenirLa lemmatisation automatique a ses limites. Soyez donc attentif aux homographes, c’est-à-dire aux mots ayant la même orthographe, mais des sens différents, pour tirer pleinement parti des résultats de recherche.
Le lien suivant a été copié dans le presse-papiers :
urlCe mot fait partie de la liste orthographique (#listeNomComplet#) du ministère de l’Éducation et de l'Enseignement supérieur (MEQ) du Québec, élaborée en collaboration avec le Centre d’analyse et de traitement informatique du français québécois (CATIFQ) de l’Université de Sherbrooke.