Elle a beau l'exhorter à refaire sa vie, il refuse d'entendre raison
Elleavait rapporté un autre beau bulletin avec une moyenne au-dessus de quatre-vingt-dix
il donne le bras à une jeune femme, blonde et pâle, très belle
Le dimanche, elle se ferait belle pour aller la demander au parloir
Les plus belles fleurs poussaient là, derrière de blanches petites clôtures
Les rires diminuaient, puis reprenaient de plus belle
Le temps est au beau, la vie peut recommencer
Pour la plupart d'entre nous ce temps-là est bel et bien révolu
Tu es un bel hypocrite, tu me trompes comme tu peux
Tu te rappelles[...]son beau talent de guérisseuse qui venait à bout de nos découragements comme de nos maladies?
Partons, la mer est belle
Dans les contextes des corpus du Fonds de données linguistiques du Québec (FDLQ) que vous consulterez, les mots ont été associés à leur forme de base, aussi appelée lemme, à l'aide d'un processus automatisé (appelé processus de lemmatisation automatique).
Par exemple :
Étant donné que ces corpus ont été lemmatisés par une machine et non par des humains, certains mots ayant la même orthographe (comme le nom masculin couvent et la 3e personne du pluriel de l'indicatif présent couvent du verbe couver) pourraient avoir été mal identifiés par l'algorithme informatique.
Les contextes affichés ne sont pas triés par sens ou usage : il est donc essentiel de lire attentivement les phrases pour identifier le sens correct.
Par exemple :
En cas de doute ou pour affiner vos recherches directement dans le FDLQ, essayez d’utiliser des mots ou des expressions qui précisent davantage le contexte (par exemple : ferme agricole ou décision ferme).
Ce qu’il faut retenirLa lemmatisation automatique a ses limites. Soyez donc attentif aux homographes, c’est-à-dire aux mots ayant la même orthographe, mais des sens différents, pour tirer pleinement parti des résultats de recherche.
Le lien suivant a été copié dans le presse-papiers :
urlCe mot fait partie de la liste orthographique (#listeNomComplet#) du ministère de l’Éducation et de l'Enseignement supérieur (MEQ) du Québec, élaborée en collaboration avec le Centre d’analyse et de traitement informatique du français québécois (CATIFQ) de l’Université de Sherbrooke.