Car espérer, c'est attendre, c'est porter souvent en soi un silence grave dont bien peu sont capables
faire diversion et briser tant soit peu la monotonie des jours
je vis au compte-gouttes, m'habituant à ne pas penser, à exister seulement, si peu que ce soit
Patrick n'était pas un homme très bavard; à part son travail, peu de choses l'intéressaient
peu à peu, aidé du vent, le brouillard se disperse
Un peu de fumée tantôt dérobée à la vue s'effilochait autour de la cheminée
Ce peu de changements s'explique par l'incertitude économique qui règne dans cette région
L'atmosphère est restée à peu de chose près la même que par les années passées
Dans les contextes des corpus du Fonds de données linguistiques du Québec (FDLQ) que vous consulterez, les mots ont été associés à leur forme de base, aussi appelée lemme, à l'aide d'un processus automatisé (appelé processus de lemmatisation automatique).
Par exemple :
Étant donné que ces corpus ont été lemmatisés par une machine et non par des humains, certains mots ayant la même orthographe (comme le nom masculin couvent et la 3e personne du pluriel de l'indicatif présent couvent du verbe couver) pourraient avoir été mal identifiés par l'algorithme informatique.
Les contextes affichés ne sont pas triés par sens ou usage : il est donc essentiel de lire attentivement les phrases pour identifier le sens correct.
Par exemple :
En cas de doute ou pour affiner vos recherches directement dans le FDLQ, essayez d’utiliser des mots ou des expressions qui précisent davantage le contexte (par exemple : ferme agricole ou décision ferme).
Ce qu’il faut retenirLa lemmatisation automatique a ses limites. Soyez donc attentif aux homographes, c’est-à-dire aux mots ayant la même orthographe, mais des sens différents, pour tirer pleinement parti des résultats de recherche.
Le lien suivant a été copié dans le presse-papiers :
urlCe mot fait partie de la liste orthographique (#listeNomComplet#) du ministère de l’Éducation et de l'Enseignement supérieur (MEQ) du Québec, élaborée en collaboration avec le Centre d’analyse et de traitement informatique du français québécois (CATIFQ) de l’Université de Sherbrooke.