C'est juste avant les premiers froids, et l'eau file de plus en plus vite sous les trois ponts de Choinière, eau migratrice faisant mauvaise route, fuyant en sens contraire des oies
Il m'a fallu fuir précipitamment, en bousculant Gett et le préposé qui tentaient de me retenir
Il n'y a jamais d'autre réponse que ce fleuve qui fuit, que le bruit du vent, que cette lumière qui transperce tout
Ilvit des silhouettes fuir vers les boisés de l'île
Il voulait se fuir lui-même
le silence s'appropria du temps entre chaque goutte d'eau qui fuyait du robinet
Les mots la fuyaient
Le temps fuit, sans doute... Quand on en parle, le temps a déjà coulé, il n'en reste que des images mortes
Ses yeux fuyaient mon regard
Dans les contextes des corpus du Fonds de données linguistiques du Québec (FDLQ) que vous consulterez, les mots ont été associés à leur forme de base, aussi appelée lemme, à l'aide d'un processus automatisé (appelé processus de lemmatisation automatique).
Par exemple :
Étant donné que ces corpus ont été lemmatisés par une machine et non par des humains, certains mots ayant la même orthographe (comme le nom masculin couvent et la 3e personne du pluriel de l'indicatif présent couvent du verbe couver) pourraient avoir été mal identifiés par l'algorithme informatique.
Les contextes affichés ne sont pas triés par sens ou usage : il est donc essentiel de lire attentivement les phrases pour identifier le sens correct.
Par exemple :
En cas de doute ou pour affiner vos recherches directement dans le FDLQ, essayez d’utiliser des mots ou des expressions qui précisent davantage le contexte (par exemple : ferme agricole ou décision ferme).
Ce qu’il faut retenirLa lemmatisation automatique a ses limites. Soyez donc attentif aux homographes, c’est-à-dire aux mots ayant la même orthographe, mais des sens différents, pour tirer pleinement parti des résultats de recherche.
Le lien suivant a été copié dans le presse-papiers :
urlCe mot fait partie de la liste orthographique (#listeNomComplet#) du ministère de l’Éducation et de l'Enseignement supérieur (MEQ) du Québec, élaborée en collaboration avec le Centre d’analyse et de traitement informatique du français québécois (CATIFQ) de l’Université de Sherbrooke.