Exemplification de l'article « attacher »
Exemples et cooccurrents
- fig. attacher son regard, ses yeux sur
- Attacher des fleurs avec un ruban.
- fam. Attacher legrelot.
- Attacher qqn sur une chaise avec une corde.
- Attacher sa ceinture de sécurité.
- Attacher son nom à une réussite.
- Attacher son tablier.
- Attacher un chien à un poteau avec une laisse.
- Attacher un collier.
- Attacher un employé à un cadre.
- Attacher un journaliste aux sports.
- Attacher un pantalon, une blouse.
- Attacher un sens à un mot.
Plus d’exemples et cooccurrents
- F/Efam.(par méton.) casserole, poêle qui attache
- absoltpronom. s’attacher
- absoltpronom. Attachez-vous, nous partons.
- pronom.passif Cette ceinture s'attache mal.
- (en emploi d’adjectif) Chemise attachée jusqu'au dernier bouton.
- fig. Elle s'attache à dissiper le moindre doute.
- (en emploi d’adjectif) Lacets mal attachés.
- F/Efam. Les pommes de terre ont attaché.
- fig. S'attacher à cerner l'ampleur d'un phénomène.
- fig. S'attacher à un pays, à un peuple.
- fig. S’attacher à un enfant.
Citations
Littéraires
-
Elle attacha ses cheveux sur le côté, à l'aide d'un lacet de cuir souple
(Rober Racine, 2002). -
fig.
Elle l'attirait et il en avait peur[...], parce que des liens qu'il considérait sacrés l'attachaient à une autre femme
(Arsène Bessette, 1914). -
fig.
Enfant, on s'attache à tout. Je m'étais attaché à cette vieille brouette. On s'attache vraiment
(Claude Jasmin, 1972). -
fig.
Il attacha sur moi le feu de son regard à la fois brûlant et désespéré
(Gabrielle Roy, 1984). -
pronom.
il avait appris à traverser des chutes en s'attachant à un arbre ou à une forte racine avec une longue lanière tressée
(Dominique Demers, 1997). -
(par méton.)
Il n'attacha pas tous les boutons de sa canadienne et commença à compter les minutes
(Florence Nicole, 1994).
Autres citations
-
fig.
Il importe de préparer l'avenir en s'attachant tout d'abord à la formation initiale du futur personnel enseignant
(Conseil de la langue française, 1987).
Recherches associées
-
Avertissement : comprendre la lemmatisation automatique et ses limites
Dans les contextes des corpus du Fonds de données linguistiques du Québec (FDLQ) que vous consulterez, les mots ont été associés à leur forme de base, aussi appelée lemme, à l'aide d'un processus automatisé (appelé processus de lemmatisation automatique).
Par exemple :
- Les formes conjuguées d’un verbe (comme mange, mangeais, mangerons) sont associées à leur infinitif (manger).
- Les variantes d’un adjectif (comme grands, grande, grandes) sont associées à leur forme au masculin singulier (grand).
Étant donné que ces corpus ont été lemmatisés par une machine et non par des humains, certains mots ayant la même orthographe (comme le nom masculin couvent et la 3e personne du pluriel de l'indicatif présent couvent du verbe couver) pourraient avoir été mal identifiés par l'algorithme informatique.
Les contextes affichés ne sont pas triés par sens ou usage : il est donc essentiel de lire attentivement les phrases pour identifier le sens correct.
Par exemple :
- La recherche du mot ferme pourrait retourner des phrases avec ferme comme nom, adjectif ou verbe.
- La recherche du mot avocat inclura des phrases parlant de la profession ou du fruit, seul un humain étant capable de distinguer avec certitude l'un de l'autre dans un texte.
En cas de doute ou pour affiner vos recherches directement dans le FDLQ, essayez d’utiliser des mots ou des expressions qui précisent davantage le contexte (par exemple : ferme agricole ou décision ferme).
Ce qu’il faut retenirLa lemmatisation automatique a ses limites. Soyez donc attentif aux homographes, c’est-à-dire aux mots ayant la même orthographe, mais des sens différents, pour tirer pleinement parti des résultats de recherche.
