Madeleine Gagnon
La poète, romancière et critique Madeleine Gagnon est née le 27 juillet 1938, à
Amqui. Elle commence ses études au Conservatoire de musique de Québec à seize ans.
Elle obtient une maîtrise en philosophie de l'Université de Montréal, en 1961, et
un
doctorat ès lettres à Aix-en-Provence, en 1968. L’auteure est professeure de
littérature à l'Université du Québec à Montréal de 1969 à 1982. Elle a collaboré à
de nombreuses revues dont
Chroniques,
Liberté et
La Nouvelle Barre du
jour. Ses textes sont cités dans des anthologies canadiennes,
françaises, italiennes et américaines. Madeleine Gagnon a notamment obtenu, en 1986,
le Grand Prix de poésie du
Journal de Montréal
pour son livre
Les fleurs du Catalpa et le Prix
du Gouverneur général, catégorie « poésie », pour
Chant pour
un Québec lointain. Elle a reçu, en 2001, le prix Marcel-Couture pour
l'essai
Les femmes et la guerre. En 2002, elle se
voit attribuer le prix Athanase-David. En 2008, Madeleine Gagnon a remporté le Prix
spécial de poésie du Concours international Ronald-Gasparic. En 1987, elle a été
élue membre de l'Académie des lettres du Québec.
infobulledansLesNotices_in_UNEQin_UNEQin UNEQin Union des écrivaines et des écrivains québécois400Autres abréviations utilisées couramment dans le dictionnaireautresAbrevCette notice biographique s'appuie sur certaines données du site de l’UNEQ. Le Centre
d’analyse et de traitement informatique du français québécois (CATIFQ)* a établi une
convention de collaboration scientifique avec l’UNEQ (Union des écrivaines et des
écrivains québécois). Dans le cadre de cette collaboration scientifique, l'équipe
FRANQUS peut
s'appuyer sur certaines notices biographiques des écrivaines et écrivains québécois
présentées sur le site de L’ÎLE (L’infocentre littéraire des écrivains québécois).* Ce centre porte depuis 2016 le nom de Centre de recherche interuniversitaire sur
le français en usage au Québec.Site de l'UNEQSite de l'ÎLE(in UNEQ)
Œuvres citées dans le dictionnaire :
Le vent majeur
Montréal, VLB Éditeur, 1995, 200 p.
Rêve de pierre
Montréal, VLB Éditeur, 1999, 170 p.